Galerie Emilie Dujat
  • Bruxelles
  • Belgique

Artistes

Stéphane GIZARD, Atelier HAUTE CUISINE, J.M. de PELSEMAEKER, Georg VIKTOR, Joel PERSON, Nathalie PIROTTE, Stephen SACK, Victor SANCHEZ, Jack ESPI, Bart RAMAKERS, JPMDR…

Découvrez nos artistes ci-dessous.

Our Talented Artists

Jean-Luc Moerman

(Born in Brussels 1967)

The artist lives his art as a commitment for the living, he quotes Isabelle Stengers, philosopher and science historian. ‘We are not defending Nature, we are the Nature defending itself.’

Moerman’s career has begun in the early 90ties, offside the institutional art world, in the streets of Brussels, where he began to develop his first biomorph shapes on stickers, which were quickly presented all over the cityscape.

Since his first solo show in 1995, Moerman has gone on to exhibit internationally.

His works have featured in numerous galleries, museums and private collections, namely the Olbricht Collection, Berlin; La Maison Rouge, Paris; Musee D’Art Modern, Luxemburg; Musée d’Ixelles, Brussels; Musée des Beaux-Arts, Calais; MOCA, Shanghai; The Flag Art Foundation, NYC; Vanhaerents Collection, Brussels.

Additionally notable is his solo project at Art Unlimited, Art Basel in 2005, his participation in a number of biennials, public space, and iconic façade projects, and his retrospectives at BPS22, Belgium and Leu Gallery, Munich.

With two monographs published, ‘The Art of Jean-Luc Moerman’ features a key interview with Hans Ulrich Obrist.

In the last year alone he has had solo exhibitions in Brussels, Barcelona, Munich, Luxemburg, Korea, Japan, Venice and Dubai.

Nowadays, with his dynamic and colourful new series untiteld ‘Vues Intérieures’,  he expresses the infinite power of Nature and the creative life forces that surrounds us, beyond all existential and social anxieties.

J.M. de Pelsemaeker

‘Comme support de développement à son écriture picturale, le plasticien Jean-Marc De Pelsemaeker (1968) emprunte souvent des images surgies du passé. Puisées, entre autres, dans l’œuvre des grands maîtres de la Renaissance occidentale.

Chargées d’une valeur symbolique, esthétique ou formelle, ces images isolées de leur sphère métaphorique, sont analysées par l’artiste, soumises à son filtre mental, synthétisées puis retranscrites dans le champ plastique. « Ce qui m’intéresse, explique-t-il, c’est de capter l’énergie des images et de la concentrer en une charge pure, sans nom et sans emploi. Il me faut l’isoler, l’extraire par des moyens plastiques pour l’examiner ».

Cette sorte d’écriture-peinture, foisonnante de signes et autres rinceaux minuscules, sature l’espace avec une précision de scriptorium. Véritable transe picturale, dûment contrôlée par l’œil virtuose du praticien, elle réagit à la diffraction conjointe de la lumière et de la couleur, pour générer des figures nouvelles, comme transfigurées ou réenchantées par cet exercice de style qui leur compose une autre jouvence. Partant, la démarche s’inscrit dans une modernité qui vient bouleverser le langage de la peinture, le gratifier d’une incarnation nouvelle et susciter chez celui qui regarde habilement de nouvelles clés de compréhension du monde.’

Christophe Dosogne

Atelier Haute cuisine

The design collective “Atelier Haute Cuisine” has been founded in 2009 by Bernd Tyskens and Benny Conings.
‘Like cooks we mix different ingredients together so that they can contribute to a greater whole.
The outcome can be handmade objects, lightsculptures, furniture, site specific installations and concepts.’ Such as :

The Anonymus Family

This serie of light sculptures is created throughout a cooperation with artist Patrick Meylaerts.
It’s a family of light sculptures which all differ through their form, size and color temperature, but yet all belong to one specific group. Trying to evoke feelings such as anonymity, freedom, need of interaction and solidarity. The light sculptures get through the day almost unattended but once the sun sets, they radiate, practically demanding their notification.

No Leafs Tree

This serie of light sculptures evokes the mystery of life that emanates from a luminous tree cocoon.

Leonardo MARCOS

Leonardo Marcos est un artiste pluridisciplinaire. Il conçoit des films, des photographies, des installations digitales et réalise des mises en scène. Il place la poésie au centre de ses créations. Inspirées par l’art classique, ses créations allient maniérisme et nouvelles technologies. Son style artistique élégant est principalement dédié aux femmes, sa source première d’inspiration. De Caroline de Monaco à Sophie Marceau ou encore Arielle Dombasle, de nombreuses personnalités féminines lui confient leur image.

La Galerie du Passage de Pierre Passebon à Paris lui consacre plusieurs expositions. Le Petit Palais, Le Musée de la Vie romantique, le Musée Jean-Jacques Henner, le Collège des Bernardins, l’église Saint-Merry, le Musée national de la Marine, ou encore l’EP 7 l’ont sollicité pour des performances et événements d’exception.

Il est régulièrement invité à des manifestations culturelles comme la Nuit blanche, le Printemps des poètes ou la Journée internationale des droits des femmes, organisées par le ministère de la Culture.

Il a publié trois ouvrages de textes et de photographies : ‘Images publiques, images privées’ avec Catherine Robbe-Grillet ; ‘Les Filles du cahier volé’ avec Régine Deforges ; sa dernière parution, ‘La galerie des beautés’, regroupe une série de trente portraits de femmes et des poèmes.

Stéphane GIZARD

Né à Paris en 1977, Stéphane Gizard découvre l’appareil photo à l’âge de 7 ans. Après des études de communication, il commence à travailler à l’âge de 20 ans pour les services photos de plusieurs magazines. Il collabore rapidement avec des agences de presse réputées comme Sygma ou Sipa. Il réalise notamment des portraits de personnalités comme Christophe Walken ou Peter Falk, clichés diffusés au niveau international.

Depuis 20 ans il photographie sans relâche une tranche d’âge (17/20 ans) qui, à ses yeux, est l’étape décisive entre la fin de l’adolescence et le début de l’âge adulte. Le temps de la recherche de soi et de la fragilité.

En novembre 2012, invité par le Art Fair Abu Dhabi, il réalise plus de 500 portraits des visiteurs de ce salon d’art contemporain.

En Octobre 2013, sa premiere monographie Modern Lovers rencontre un véritable succès. Best of the best à NYC chez Strand il est réédité en 2015 ( 292 pages Bizarre Publishing NY).

En 2014, il travaille en tant que DA sur le long métrage d’Etienne Faure « Bizarre » sélectionné au festival du film de Berlin en 2015. 

Exposition personnelle à la Maison Européenne de la photographie à Paris de septembre à ocobre 2015. Un nouveau travail sur l’identité «  LIKE ME »

2016

Édition d’une monographie aux Éditions de La Martinière. 

EXPOSITIONS/Exhibitions

2007

Solo exhibition (Dress code) – Paris, FR

 2008

Solo exhibition (Dress code) – Bakou, AZ

Solo exhibition (Dress code) / Citadium concept store – Paris, FR

Solo exhibition (Dress code) – Kiev, UA

2009

Salon Art Shopping (Dress code) / Carrousel du Louvre – Paris, FR

2010

Solo exhibition (Dress code) / Le point éphémère – Paris,  FR

Cutlog Contemporary Art Fair  (Dress code) / Bourse du commerce – Paris FR

2011

Art Protects / Gallerie Yvon Lambert – Paris, FR

2012

Salon d’autmone (PULSE) / Champs Élysées – Paris, FR

Art Fair – Abu Dhabi, AR

2013

Solo exhibition (PULSE) / Escale Gallery – Levallois FR

Solo exhibition (MODERN LOVERS) / Bizarre Gallery – New York US

2014

Solo exhibition (MODERN LOVERS) – Brussels BE

Solo exhibiton (MODERN LOVERS) / Fotofever – Paris FR

 Il travaille également avec le cinéaste François Reichenbach et commence à fréquenter le monde du cinéma, les acteurs de sa génération et se retrouve photographe de plateau sur des courts métrages. Il travaille pour Kodak et pour la Caméra d’or sur les festivals de Cannes, Deauville et Valenciennes. C’est là qu’il se « fait la main » et apprend à travailler vite. Parallèlement aux portraits d’acteurs qu’il affectionne particulièrement, il réalise des pochettes de disques (Universal, Sony, Emi…)

À 23 ans, Stéphane Gizard réalise son premier travail personnel : « Garçons et Fille… », une série de portraits présentant 35 garçons et une fille, tous venant de la rue, qui propose une réflexion sur l’ambiguïté sexuelle à l’adolescence. Avec ce travail le casting sauvage, le hasard des rencontres, les portraits d’inconnus deviennent une évidence qui se déclinera souvent par la suite. Ces photos sont exposées en 1998 à Paris, au Centre américain puis à Valenciennes, aux Rencontres du cinéma. La même année, il devient animateur d’ateliers photo à l’Unesco de Paris et dans deux écoles, à Madrid et à Londres, dans le cadre de l’association Childrens Academy on Tour. Son travail est alors soutenu par la Communauté européenne.

En 2001 il intègre le Bureau de Victor, son agent et réalise des commandes pour la publicité. La même année il fonde avec Étienne Faure, la société Eivissa Productions pour développer des projets de fictions et de documentaires. En 2008, il intègre l’agence Contours (Guetty Images).

Stéphane Gizard imagine « Dress code » en 2006 et il photographie 200 adolescents dans leur look personnel. Il s’agit de portraits, réalisés en studio, après 8 mois de casting de rue, sans aucun styliste. La conception du premier volet, « Dress Code Paris », s’achève en juillet 2007. D’abord diffusée comme une exposition itinérante (Maison de Solenn en octobre, Point Éphémère en novembre) la collection se pose au magasin Citadium-Printemps (Paris 9e), lieu d’échange et de découverte dévolu à la Street Culture. Cette première collection de l’artiste s’expose désormais à l’international (Ukraine, Azerbaïdjan, Kazakhstan).

Depuis Stéphane continue les travaux personnels comme « Addiction » en 2009 un journal intime photographié avec un iPhone et « I, twenty years ago en 2010 » un travail sur le temps qui passe. Il continue également à réaliser des images pour la publicité (Labello, Dove, Sécurité routière, Bonobo, Nutella…) et des magazines comme le Monde magazine, Be, Figaro ou Studio Cinélive.

En mai 2012, invité par l’ambassade de France d’Abu Dhabi, Stéphane Gizard réalise avec l’université de la Sorbonne basée là-bas un nouveau Dress Code.

Biography

Born in Paris in 1977, Stéphane Gizard discovers the camera at the age of 7 years. After studying communication, he started working at the age of 20 years  for service photos from several magazines. It works quickly with news agencies as Sygma and Sipa. He performs especially portraits of personalities like Christopher Walken or Peter Falk, pictures broadcast internationally.

He also worked with director François Reichenbach and begins to attend the world of cinema, actors of his generation and found stills photographer on short films. He worked for Kodak and the Camera d’Or in Cannes, Deauville and Valenciennes. This is where he « made by hand » and learns to work quickly. Along with portraits of actors he particularly likes, he produced record sleeves (Universal, Sony, EMI …)

When he was Stéphane Gizard made his first personal work: « Boys and Girl… », a series of portraits with 35 boys and one girl, all from the street, which offers a reflection on sexual ambiguity during the adolescence. With this work,the wild casting, chance meeting and unknown portrait  become for him an obvious fact. These photos are exhibited in Paris in 1998 at the American Center . The same year, he became the host of photo workshops at UNESCO in Paris and in two schools in Madrid and London, as part of the association Childrens Academy on Tour. His work is supported by the European Community.

In 2001 he joined Le Bureau de Victor, his agent and generates orders for advertising. The same year he founded with Etienne Faure, society Eivissa Productions to develop projects of fiction and documentary. In 2008, he joined the agency Contours (Guetty Images).

Stéphane Gizard imagine « Dress Code » in 2006  a project for which he takes pictures of 200 adolescents in their personal look. These portraits, studio made, after eight months of street casting, no stylist. The design of the first part, « Paris Dress Code », was completed in July 2007. First released as a traveling exhibition (Maison de Solenn October, Point Éphemere in November) collection arises Citadium store Printemps (Paris 9e), place of exchange and discovery vested in the Street Culture. Now, this first artist’s collection is exposed abroad (Ukraine, Azerbaijan and Kazakhstan).

Stephane continues from personal work as « Addiction » in 2009 diary photographed with an iPhone and « I, twenty years ago in 2010, » a work as a “time capsule”. He also continues to produce images for advertising (Labello, Dove, Road Safety, Bonobo, Nutella …) and magazines like Monde magazine, Be, Figaro or Studio CineLive.

In May 2012, invited by the Embassy of France in Abu Dahbi, Stéphane Gizard performs with the University of the Sorbonne based on a new Dress Code. Beyond the dress code, Dress Code Abu Dhabi gives us a strong political message. Indeed, on campus, Palestinian, Iraqi, Egyptian, French, Australian, Sudanese, Syrians and Algerians live naturally together in a spirit of sharing and openness.

Over the past twenty years, Stephane Gizard has been relentlessly taking pictures of a specific age category (16/20 years) which he considers as a decisive phase between the end of adolescence and the beginning of adulthood, that time of life characterized by self-searching and fragility.

In November 2012, invited by the Abu Dhabi Art Fair, he made more than 500 portraits of visitors to the exhibition of contemporary art.

In October 2013, his first book Modern Lovers release in NY. Best of the Best at Strand bookshop in Manahttan. 292 pages. Mate hardcover. 500/p. Bizarre Publishing NY.

In 2014, he produced and and made the artistic direction  of the feature film «  Bizarre « by Etienne Faure, selected at the Berlin film festival.

Clients pub/Customers pub

L’Oréal Paris, Nivea, Mac Donalds, SNCF, Kellogg’s, Axa, Bonobo, Levi’s, Dockers, Lacoste, Total, Toyota, Millipore, Nutella, Intermarché, Decathlon, Monoprix, Marani, Morgan, Lee Cooper, Road Safety, Oval, Lazard bank , Sloggy, Replay, Celio, Dove…

Clients mag/Customers mag

New York Times Magazine, Groupe Figaro, Studio CineLive, Les Echos, Libération, Spring, Blake, Institutional Investor (NYC), Metropolis (NYC), Cosmopolitan, The Point, M6 interaction, Teva, Universal Music, Warner, Fhm, Vsd Optimum, Paris Match, Mr. Albin Michel, Julliard, Blackpool, Guetty, Contours, Phosphorus, The illustrated (Switzerland) …

Frédéric FONTENOY

Né en 1963, Frédéric Fontenoy, vit et travaille à Paris.

Œuvre photographique singulière, composition noir et blanc à l’alchimie parfaite, inspiration rétro- érotiques, roman noir avec références au plus sombre épisode de l’histoire de France.

“Frédéric Fontenoy est photographe. Son arme : un appareil photo. Son matériel, une chambre photographique d’excellente qualité, pour studio, une pièce banale de l’appartement où il vit. Papier peint au mur, tapis, table, fauteuil tabouret, commode des miroirs de plusieurs forme et dimension, un lit-cage et divers accessoires : assiette, pot de chambre, bidet, livres, bouquet de fleurs, jeu d’échec, godemiché, instruments de torture, liens, fouet, canne… ; et des femmes, des femmes…, nues, demi-vêtues, avec corset, bustier, combinaisons, bas avec couture, jarretelles, escarpins à talons hauts…, une garde-robe datant des années 30’ à 50’ ; et, au centre du dispositif (…) l’ordonnateur de l’action, un homme au look rétro, air austère, concentré, style intellectuel rétro des années de guerre (…) dirige les opérations de maintien de l’ordre d’une main de maître (…) diabolique metteur en scène de ces étranges batailles où les victimes sont de magnifiques femelles humaines. (…) J’ai compris que l’artiste qui mettait en place en place de façon méticuleuse ces compositions élaborées destinées à provoquer à chaque déclic de l’obturateur une déflagration de la pensée, que cet homme était aussi l’austère dompteur gominé dressant dans leur cage une ménagerie humaines évadée de quelque cercle de l’Enfer de Dante.” 

Jacques Henric, préface du catalogue de Frédéric Fontenoy.

Jack ESPI

Jak espi est né le 10 décembre 1966 à Salon de Provence. Il vit et travaille à Pelissanne en Provence.

Jacques est né d’un père menuisier. L’homme, aux côtés de sa femme, fabriquait des meubles et pensait des cuisines. Une enfance qui renseigne aujourd’hui beaucoup sur le parcours de l’artiste. Le jeune Jak Espi a passé son temps à jouer dans l’atelier de meubles familial, entre de nombreux outils et matériel d’ébénisterie.

Une culture de la surface, de l’objet moderne, de l’esthétique  ainsi que de la finition, que l’artiste en devenir va coupler à une passion pour l’illustration. À l’âge de 12 ans, il découvre Paris à travers ses expositions et ses musées, du Louvre à Beaubourg. Jacques dessine alors énormément : il travaille son trait et ses chromies.

Intégrer le Département Arts Appliqués du Lycée Marie Curie à Marseille va définitivement sceller son chemin de vie, où l’Art constitue une clef de voûte. “Noyé et affûté dans l’Art” comme il se plaît à le dire, Espi s’essaye à la peinture. Il s’installe dans un atelier et produit une série de tableaux. Ses influences se baladent quelque part entre les œuvres de Picasso, Bacon, Kandisky ou Mirro mais également Superdupont, héros du 9e Art.

Car Jak Espi aime rire. Il aime déconstruire la langue française en jeux de mots, il aime l’amusement, la “connerie, parce qu’elle fait du bien”. Jamais trash, son approche porte en son sein une bonne dose d’énergie no-limit : “les limites sont faîtes pour être dépassées, il faut savoir s’en amuser, jouer avec… Par plaisir, par curiosité ou par provocation.”

Réflexion et interrogations s’opèrent toujours chez Espi dans l’ouverture. Le champ des possibles – qu’il s’agisse de création comme de principes de vie – est infini, et doit le rester : “il est important que certaines questions restent sans réponses”. La sculpture arrive donc dans son élan créatif de façon naturelle : “mes dessins ont toujours porté beaucoup de reliefs. À la naissance de ma fille, l’envie de façonner, de travailler le volume s’est invitée dans ma vie.” Jak jette son dévolu artistique sur la résine. Un matériau moderne, dont il va apprivoiser le potentiel illimité, toujours en cohérence avec ses envies no-limit.

La néo-paternité de Jacques et l’allaitement de sa fille l’amènent sur le terrain vallonné d’un travail sur le corps féminin, les seins plus particulièrement. La poitrine, masse sensuelle, se retrouve déclinée dans l’œuvre du sculpteur. Jacques est issu des mondes de l’illustration, de la peinture et du dessin, et ses penchants graphiques viennent naturellement recouvrir ces rondeurs. Isolés, mis en scène, détournés ou greffés – sur le corps d’une Panthère pour le coup très sexuée – les seins d’Espi agitent les galeries. Celles de Marcel Strouk, David Pluskwa, ou AbsoluteArtGallery en Belgique…

Un travail haut en couleur, une production dense, teintée de dérision comme de Do It Yourself : Jak Espi pousse ou entrouvre les portes de l’Art Contemporain et égrène une œuvre généreuse pour un rayonnement qui tend à devenir européen.

Jacques dit de lui qu’il est “un gars d’ici”.

Ce “gars d’ici” est une vraie promesse, à laquelle beaucoup croient déjà.

Théophile Pillault.

PERMANENT GALLERIES

Rive Gauche Gallery, 23  rue de Seine 75006 PARIS, FRANCE

Reverol & Co, Westchester New York, US

David Pluskwa Gallery 53 rue Grignan 13006 Marseille, FRANCE

Bertheas “Les Tournessols” Gallery St Etienne / Vichy, FRANCE

GVM La Civilita Del Marmo Carrara, ITALIA

Emilie Dujat Gallery 22 rue Ernest Allard Bruxelles, BELGIUM

Shows

2015

Group Show Arthema Gallery – Brussels, BE

Group Show Rive Gauche Gallery – Paris, FR

Duo FenX / Jak ESPI 912 Art Gallery – Lourmarin, FR

2014

Trio Charlelie Couture/JonOne/ Jak ESPI / Villa del’Arte – Brussels, BE

2013

Group Show / Reverol & Co Gallery – New Rochelle NY US

Group Show / Rive Gauche Gallery – Paris FR

Duo Show / Charlelie Couture & Jak Espi David / Pluskwa Gallery –

Marseille FR

“Battle ITALIA FRANCIA” Group Show – Pietrasanta, IT (with Maurizio Cattelan, Robert Combas, Jean Pierre Raynaud, Abdel Abdessemed…)

Group Show / David Pluskwa Gallery – Marseille FR

Solo Show Hotel “La Villa” Calvi with David Pluskwa Gallery – Corse FR

Group Show and Happening with Jonone at Rive Gauche Gallery – Paris FR

Solo Show Pavillon M(Marseille Provence 2013 Capitale Européenne de la culture) – Marseille FR

Group Show “L’homme” Émilie Dujat Gallery – Brussels BE

Monumental sculpture “Delféa 22” Pavillon M (Mp13) – Marseille FR

Group Show “Vanity” David PLuskwa Gallery – Marseille FR

Group Show “Les Baisers” Émilie Dujat Gallery – Brussels BE

2012

Group Show / Rive Gauche Gallery – Paris FR

Group Show / David Pluskwa Gallery – Marseille FR

Solo Show / Festival d’avignon – Avignon FR

Group Show / Absolute Art Galerie – Knokke BE

Group Show / Fabien Mathieu Gallery – Biarritz FR

Solo Show / Next Gallery – Toulouse FR

Group Show / Petitjean Art Galerie – L’Isle sur la Sorgue FR

Group Show / Rive Gauche Gallery – Paris FR

2011

Group Show / Fabien Mathieu Gallery – Biarritz FR

Group Show / Saltiel Gallery – Aix-en-Provence FR

-Solo Show in “Bubble One” / Nîmes Golf  – Nîmes FR

2010

Group Show / Espace Pierre Cardin – Paris FR

Group Show / BMW – Aix-en-Provence FR

Solo Show 5e Gallery – Paris FR

Nocturne Rive droite Show – Paris FR

Solo Show in Bubble One (personal inflatable structure) / Palm Beach –

Festival de Cannes

Group Show / Barbara de Palma Gallery – Saint Tropez, FR

Solo Show in Bubble One (personal inflatable structure) Pasino –

Aix-en-Provence FR

Group Show Suty Art Gallery – Paris FR

Solo Show Michel Miltgen Art Gallery – Luxembourg LU

2009

Solo Show / Archivision – Marseille FR

Group Show / Maison du château – Châteauneuf-le-Rouge FR

Group Show / Absolute Art Gallery – Knokke BE

Solo Show in Bubble One (personal inflatable structure) – Château de la barben FR

Group Show / Suty Art Gallery – Paris FR

2008

Group Show / Suty Art Gallery – Paris FR

Group Show /Pieters Art Gallery – Knokke BE

2007

Solo Show Chapelle des Pénitants – Pernes-les-Fontaines FR

2006

Group Show Mairie du 9e – Paris FR

2005

Solo Show / Valenti Gallery – Brussels BE

SoloShow / La Poissonnerie Gallery – Marseille FR

2004

Solo Show /GMAC – Paris FR

Solo Show “Passage PI” (personal exhibit structure) – Aix-en-Provence FR

2003

Solo Show / Eyguières Alpille FR

2002

Solo Show in “Passage Pi” (personal exhibit structure) Fiesta des Suds – Marseille FR

Solo Show “Festival Electro-choc” Dock des Suds – Marseille FR

Solo Show /Maison Orangina – Marseille FR

SoloShow /Resto/Gallery OZ – Marseille FR

Participation at “Festival de Cannes” – Cannes FR

Solo Show / Eden Theatre – Sénas FR

2001

Solo Show in “Passage Pi” (personal exhibit structure) Festival d’Avignon – Avignon FR

“Passage Pi” creation (personal exhibit structure) workroom – Pelissanne FR

Bodypainting Show – Salon-de-Provence FR

Tv Show – Montréal CA

Solo Show – Naples, ITALIE

Solo Show / MAC – Toulouse FR

2000

Solo Show / Docks de la Joliette – Marseille FR

1999

Participation Lefranc-bourgeois competition – Paris FR

Solo Show / Portail Coucou – Salon-de-Provence FR

1995

Group Show Château de l’Emperi – Salon-de-Provence FR

1992 / 2004

Création d’une entreprise d’enseignes publicitaires et artistique – Pelissanne FR

1991

Solo Show Hostellerie la Roseraie – Grignan, FR

Group Show / Collège Font d’Aurumy – Fuveau FR

Participation au Grand Prix International de Peinture de la Côte d’Azur (2e Prix) – Cannes FR

Participation au Grand Prix de Peinture de l’Academie des Beaux arts – Aix-en-Provence FR

Participation au concours national “les Étoiles de la Peinture” – Marseille FR

1990

First Solo Show – Pelissanne FR

ART FAIRS

2015

BRAFA Art Fair Tour &Taxi (with Rive Gauche Gallery) – Brussels BE

2014

BRAFA Art Fair Tour &Taxi (with Rive Gauche Gallery) – Brussels BE

SCOPE Art Fair( with Reverol & Co Gallery) – New York, US

Art contemporain Art Fair (with David Pluskwa Art Contemporain Gallery) – St Tropez FR

2013

Art Of The Prom Art Fair / Promenade des Anglais – Nice FR

Art3f Art Fair – Mulhouse FR

2012

AFFORDABLE Art Fair (with Bear Gallery) – Milan IT

Project’isle International Art Fair – L’Isle-sur-la-Sorgue FR

ART PARIS Art Fair (Rive Gauche Gallery) Grand Palais – Paris FR

2011

FIAC art fair – Solo Happening – Grand Palais – Paris FR

MARRAKECH Art Fair (Rive Gauche Gallery) – Marrakech MA

Lille Art Fair (Galea Gallery) – Lille FR

Nîmes Art Fair ( Bear Gallery) – Nîmes FR

Project’isle International Art Fair ( Bear Gallery) – L’Isle-sur-la-Sorgue FR

ST’ART Art Fair (Bear Gallery) – Strasbourg FR

AIXTRAITS D’ART Art Fair (Bear Gallery) – Aix-en-Provence FR

2010

LILLE ART FAIR / Galea Gallery – Lille FR

Project’isle International Art Fair / Galea Gallery – L’Isle-sur-la-Sorgue FR

SM’ART / Art Top Gallery – Aix-en-Provence FR

2009

ART ELYSEE / Suty Art Gallery / Champs-Élysées – Paris FR

ARTENIM Art Fair / Art Top Gallery – Nimes FR

SIAC Solo Show – Marseille FR

ST’ART Art Fair / Art Top Gallery – Strasbourg FR

SM’ART / Art Top Gallery – Aix-en-Provence FR

FRANCHEMENT ART Solo Show in Bubble One (personal inflatable structure) – Villefranche-sur-mer FR

2008

ART ELYSEE / Suty Art Gallery / Champs-Élysées – Paris FR

1992

Salon International des Seigneurs de l’Art – Aix-en-Provence FR

1990/1991/1992

Salon d’automne  /Grand Palais – Paris FR

ART AUCTIONS

2015

Art Auction Art & Design / Pierre Cardin – Bonieux (Luberon) FR

2014

Art Auction Little dreams foundation with Phil Collins – Miami US

2013

Art contemporain – Art Urbain contemporain – CORNETTE DE SAINT CYR / Hôtel Salomon de Rothschild – Paris FR

ARCURIAL “ 100 Brique pour Madagascar 2 ” F.TAJAN Hôtel Marcel D’assault, Champs-Élysée – Paris FR

2011

ARCURIAL “ 100 Brique pour Madagascar ” F.TAJAN Hôtel Marcel D’assault, Champs-Élysée – Paris FR

Nicolas DELAMOTTE-LEGRAND

Artiste aux multiples facettes (Peintre, Danseur/Chorégraphe, Chanteur Lyrique) ainsi que Curator, Conservateur et Chargé de Communication, Nicolas Delamotte-Legrand  a poursuivi  pleinement depuis 1997 différentes carrières tant dans le domaine de la Création et du Spectacle vivant, que dans les domaines de l’enseignement, de l’Organisation/coordination, du Management et de la Communication.

En novembre 2013, il obtient la reconnaissance du Ministère Belge de la communauté française/Cellule Culture-Enseignement comme Opérateur culturel pour son parcours artistique et d’éducation.

Il travaille actuellement pour différentes plateformes Culturelles et Artistiques et mène ses projets d’expositions, tant comme Commissaire que comme Artiste plasticien. Il se produit également dans divers projets de concerts.

2015

« Silly Goes Vintage »  Commissaire MonSilly 2015

Expositions, Marché Vintage, animations, Restauration, concerts

2013

« Voyage au coeur de l’invisible »

Commissariat et coordination de l’événement culturel et artistique de la plateforme POP UP Virus Culturel – Galerie du Passage – Mons BE

Collaborateur exposition « L’Homme » – Galerie Émilie Dujat – Brussels BE

Chargé de projet, Représentant commercial et Curator Aralya pour le Benelux

2012

Mise en place avec la Maison Maurice Béjart Huis de leur collaboration avec le Musée de la Littérature et des Manuscrits de Belgique

2011

Commissaire de l’exposition / « Hommage à Corneille : L’ode à la vie » – Château de Vascœuil, Normandie FR

2010

Commissaire de l’exposition « Corneille», Musée des Instruments de Musique – Brussels BE

Commissaire de l’exposition « 30 variations sur des lieux imaginaires » Corneille, à la Élysées Art Galerie – Liège BE

2009

Organisation de l’exposition « Corneille et les enfants, une rencontre toute en couleurs » – Mairie de Villiers-Adam FR

Organisation de l’exposition  « Les passions africaines de Corneille », Schana B. Gallery – Brussels BE

Organisation de l’exposition « Corneille, œuvres originales », Schana B. Gallery – Brussels BE

2008

Organisation de l’événement « Les Oiseaux de Paradis » au Bip – Brussels BE

Participation à l’exposition « COBRA », Musées Royaux des Beaux Arts de Belgique

Participation à l’exposition « COBRA 60 » au COBRA Museum – Amstelveen NL

Organisation de l’exposition « Le peintre et ses chats », Schana B. Gallery – Anvers BE

Organisation de l’exposition « Corneille, un peintre solaire à Auvers-sur-Oise », Rétrospective au Musée Daubigny, Château d’Auvers, Galerie d’Art Contemporain et Festival International de Musique d’Auvers-sur-Oise (Corneille, Plasticien invité) – Auvers-sur-Oise FR

2007

Organisation de l’exposition « Corneille, Aquarelles, pastels et encres de chine », Schana B. Gallery – Brussels BE

2007 / septembre 2011

Directeur des Relations Publiques pour Schana B. Gallery et la DIM Gallery (de 2008 à 2010)

Coordinateur des projets Corneille

Conservateur de la Collection et des Archives Corneille.

Victor SANCHEZ

Born in 1959 in Gijon, Spain. Lives and works in Brussels Belgium.

Education

1975-1980

Académie Royale des Beaux-Arts, Bruxelles, Belgique

Académie d’Anderlecht, Académie de Watermael-Boifort

Victor Sanchez studied at the Royal Academy for Fine Arts of Brussels. He graduated in 1980 and completed his pictural and technical skills at the Laeken based Brussels School for Photography. In 1990, he opted for a freelance activity as a hyperrealist illustrator and ever since works with several advertisement agencies.

His poetic and surrealistic art is favourably singled out by renowned art critics such as Stéphane Rey and Anita Nardon. However, he still keeps a critical eye on his art. As an untiring perfectionist, he first exploited the subtle eroticism of veiled bodies and now reinvents his own Hyms to Feminity with an art that resolutely strays from the beaten track.

Recently rewarded at the international erotica exhibition in Lausanne, Switzerland.

«I would like to reconcile the art lovers with the erotic art. Of course, the subjects which I painted can shock; but a painting in itself is neither disgusting nor vulgar. It is a kind of encouragement to get out of the passivity, the slowness, to enter in the game of the art and play hide-and-seek with it.»

Individual  expositions

2015

Art Swiss Space – Lausanne, CH

2012

Grand Palace  – Guest to the A.V.E.C. Galla – Capri, IT

2010 

Galerie Libertine at the Sablon « Petits portraits intimes » – Brussels, BE

2008 

Galerie Pictura Aeterna at the Petit-Sablon – Brussels, BE

2004 

Galerie G-Loft – « Exquises esquisses » – Brussels, BE

2002 

Galerie Autre Reg’Art – Brussels, BE

1999 

Galerie du Ça m’dit – « Images et Passion » – Brussels, BE

1998 

Galerie P Art – Gent, BE

1997 

Galerie du Ça m’dit – « Femmes à nos Hymnes »- Brussels, BE

1996 

Galerie Art Cadia – « Draperies » – Brussels, BE

Collective expositions

2015

Participation to the « Inside the portrait » exposition – Salon d’été at the Émilie Dujat gallery – Brussels, BE

2014

Selected at Art Undressed 2014 – Miami, US

Participation and winner of the award from the International Exhibition of Contemporary Erotic Art at Swiss Art Space – Lausanne, CH

2013

Swiss Art Space / « Salon d’été » – Lausanne, CH

Participation and winner of the award from the International Exhibition of Swiss Art Space / Contemporary Erotic Art – Lausanne, CH

Émilie Dujat gallery / « L’homme : son genre – son identité » – Brussels, BE

Émilie Dujat gallery / « Les baisers » – Brussels, BE

2012

Participation to the « Il était une foiXXX » / Libertine gallery – Brussels, BE

Participation to the « Eros in Asia » / Libertine gallery – Brussels, BE

2011

Consul Art gallery in honor of Antwerp Pride / « Caché » – Antwerpen, BE

Libertine Gallery / « Sex Toy or not Sex Toy » – Brussels, BE

Libertine Gallery / « Black and Withe – Skin and Soul »  – Brussels, BE

2010

Libertine Gallery / « Les dessous chics » – Brussels, BE

Retrospective of 3 years of the gallery Pictura Aeterna – Brussels, BE

2009

Gallery Pictura Aeterna / « Les Nocturnes du Sablon » – Brussels, BE

Libertine Gallery / « Erotisme et Art en Asie » – Brussels, BE

2008

Gallery Pictura Aeterna / « Les Nocturnes du Sablon » – Brussels, BE

Gallery Artz21 / « Fantasia Erotica Japonesa » – Barcelona, ES

Inauguration of the gallery Artz21 – Barcelona, ES

Maison des Artistes in Anderlecht with the « Royal Groupe d’Art Evolution » – Anderlecht, BE

2007

Toison d’Or Teater for the « monologue du vagin » – Brussels, BE

 Ext@pole gallery / « Faux et usage de faux ! »- Liège, BE

2006

« Art Bizarre » – Essen, DE

Ext@pole gallery / « Fetish Xperience » – Liège, BE

2005

Espace Champerret/ « Salon Art du Nu » – Paris, FR

De Va et Vient gallery / Organization the « Artists in the Boudoir » – Antwerpen, BE

G-Loft gallery / Participation to the « Carreacute blanc » – Neder-Over-Heembeek, BE

G-Loft gallery / Participation to the « Clair de femme » – Neder-Over-Heembeek, BE

2004

Participation to the « Lupan’art » exposition – Brussels, BE

Participation to the 6th edition of the « Laeken Bouge » Local Artists Fair – Laeken, BE

Special guest to the Celles – Hermitage Local Artists Fair

Special guest to the « Vitrine de l’Art » exposition – Beauraing, BE

Participation to the 7th Biennial Event of the « Rencontre de l’Art Bruxellois » – Brussels BE

Participation to the « Artiesten voor Kinderen » exposition / Fortis Banque – Kortrijk, BE

2003

G-Loft Gallery – Brussels, BE

Participation to the 5th edition of the « Laeken Bouge » Local Artists Fair – Laeken, BE

Cooperation to the « Art On Cows » exhibition in Brussels – Creator and designer of the « COWMIUM » model for the « Laeken D&eacute couvertes » Association

Special guest to the Houyet – Wanlin Local Artists Fair

Participation to the « Artiesten voor Kinderen » exposition at the Fortis Banque – Kortrijk, BE

2002

Participation to the 4th edition of the « Laeken Bouge » Local Artists Fair

Participation to the 6th Biennial Event / « Rencontre de l’Art Bruxellois »

2001

Nominated of the « Janus » Exposition at the « Maison Stepman »

Participation to the 3rd edition of the « Laeken Bouge » Local Artists Fair

Inter Continental Hotel – Brussels, BE

2000

Participation to the 2nd edition of the « Laeken Bouge » Local Artists Fair

Participation to the 5th Biennial Event / « Rencontre de l’Art Bruxellois » – Brussels, BE

1999

« Exposition Fantastique » / International Fantastic Film Festival – Brussels BE

« Exposition au Silex » / « Les Copains du ça m’dit »

Pyramides de la Place Rogier – Brussels, BE

1998

Inter-Continental Hotel – Brussels, BE

Exposition of the  prize-winning works of the Biennial Event of Malta / « Galerie du Nid d’Aigle » – Profondeville, BE

April « Eroticism through  Contemporary Art » / « International Centre for Contemporary Art » – Liège, BE

Tribute to Thomas Owen at the Inter-Continental Hotel – Brussels, BE

Abbey of Forest – Brussels, BE

Galerie d’Enfer – Brussels, BE

Galerie du Nid d’Aigle – Profondeville, BE

Exposition Religieuse / Galerie d’Enfer – Brussels, BE

1997

Galerie du Nid d’Aigle – Profondeville, BE

Galerie des Tanneurs – Namur, BE

Galerie Patenier – Namur, BE

Galerie Reinold Ketelbuters / summer fair – Brussels, BE

DC-World Bank – Washington, US

Galerie Echancrure / summer fair – Brussels, BE

Biennial Event – Malta

Poble Espanyol de Monjuïc – Barcelona, ES

Participation to « La Grolla d’Oro » – Trevisa, IT

1996

Participation amongst other Belgian artists to the « Hommage à l’Europe » exposition – Profondeville, BE

Pyramides de la Place Rogier – Brussels, BE

Participation amongst other Belgian artists to the »Hommage à l’Europe » exposition – Bayonville, FR

Participation to the 3rd Biennial Event of the « Rencontre de l’Art Bruxellois »

« Galerie Echancrure » for the presentation of the sixth volume of the « 50 Belgian Artists »

1995

Pyramides de la Place Rogier – Brussels, BE

« Galerie du Nid d’Aigle » – Profondeville, BE

Palais des Expositions – Charleroi, BE

« Galerie Art Cadia » – Brussels, BE

Special guest to the Palmarès Renaissance Exposition / « Clos des Arts » – Brussels, BE

Poble Espanyol de Monjuïc – Barcelona, ES

MAGLAU

FETISH BALLAD par MagLau, Préface de Véronique Bergen

Corps mutants dans la nuit

D’emblée, la singularité de l’œil de MagLau nous saute au visage par sa proposition d’un autre regard sur la scène fétichiste. Loin de toute pose, l’objectif capte des instants volés, des fragments de vie nocturne. Les participants pris sur le vif ne surjouent pas. L’esthétique rompt avec le glamour, le lisse d’un certain fetish art. Dans les soirées fétiches qu’il a photographiées à Amsterdam, Berlin, Bruxelles, Paris, Tokyo durant des années, l’artiste a privilégié le décalé, les flux de joie, de détresse, de jouissance.

On peut percevoir dans cette pérégrination dans le monde du cuir et des chaînes, du latex et des cordes des accents de Nan Goldin…  Comme une parenté, un lointain hommage, sans mimétisme aucun, au travail « The Ballad of sexual dependency ».

Les codes du fétichisme sont moins détournés que rejoués du côté de l’émotion, des coulisses : il s’agit de passer derrière, sous les combinaisons en latex, de descendre dans la musique des corps encordés, tatoués, entravés. Sans les mettre en scène, MagLau capte les tribus néo-fétichistes qui s’inventent d’autres devenirs, d’autres sexualités. Il n’y a rien de figé dans les photographies en noir et blanc qui jouent avec le flou pour convoquer l’univers des fantasmes.

Le dispositif des images déploie un dialogue, des résonances affichées ou implicites entre les photographies qui se font face. Davantage qu’un jeu formel entre motifs de la page gauche et échos des motifs sur la page de droite, MagLau redouble les métamorphoses des acteurs fétiches (en animaux, robots, poupées, mutants…) par leur confrontation avec des instantanés de la vie urbaine, du règne animal ou de l’inanimé.

Fetish ballad est un night club life movie des pulsions sauvages, régressives, futuristes, « déviantes » au sens où elles ne suivent pas l’axe des normes sociales.

Fetish ballad nous invite dans des espaces-temps où se délivrent des concrétions d’inconscient, des explosions des sens, des constructions de soi minoritaires.

Les pissotières, les backrooms gays, les pony boys et pony girls, le monde des travestis entre Genet et Almodovar, des drag queens, les orgies des libertins, les gothiques, les créatures cyborg, mutantes, les corps traversés de piercings révèlent des strates enfouies de leurs royaumes par les correspondances déroutantes avec des paysages urbains, marins, des animaux, des architectures.

Au travers de l’agencement duel, le spectateur perçoit les vibrations d’une même et unique vie qui flue, qui migre d’humains adeptes de parures et d’ornements, de trans-identités à des éléments naturels à leur tour décentrés.

La frontière entre humains et monde animal, entre monde animé et règne inanimé se fissure. S’inventer d’autres corps, explorer ce que Deleuze, dans le sillage d’Artaud, nomme un Corps sans Organes au travers du BDSM, du bondage, des rubber dolls, c’est ouvrir l’existence à son dehors, ses marges, illimiter les pratiques désirantes, dans une quête d’absolu.

Plutôt que de se focaliser sur l’enjeu sexuel, sur les pratiques érotiques, MagLau décentre le génital vers des flux érogènes déterritorialisés. Le livre acte ainsi ce que la scène fétichiste performe : le décentrement du plaisir vers le désir, la secondarisation du génital par une délocalisation de la jouissance.

À Tokyo, c’est le hors-fête qui est éternisé, l’homme gainé dans sa combinaison fume une cigarette tandis que la photo en vis-à-vis donne vie aux nervures d’un mur. Où commence, où s’arrête le fétichisme ? Le gothic dark, le vinyle, le pvc, le métal imitent, revisitent les pelages, les armures, les écailles, les plumes des oiseaux, des mammifères, des ophidiens.

C’est ce face à face de séquences fétichistes et de tableaux de la vie ordinaire qui est saisissant. Il permet d’ouvrir le fétichisme à d’autres terres. Il fait éclater les codes et les stéréotypes dans lesquelles la création photographique enferme souvent le fétichisme.

La confrontation entre une créature aux tétons surmontés de cornes et un chat malade au pelage trempé comme l’est le corps couvert de boue provoque en nous un séisme scopique qui ricoche sur tous les sens.

Nos grilles perceptives sont désarçonnées, le visible sort de ses gonds par les subtils réseaux de correspondances entre des fragments de réel hétérogènes. Par l’humour des associations, une dédramatisation se produit. Les clous ornant les manches d’une combinaison noire d’une catsuit gagnent une autre valence symbolique, esthétique par leur mise en relation avec un étal de brochettes.

Une bouche entrouverte sur un cri muet se prolonge dans celle d’un poisson nageant dans une eau presque solide. Les entailles, les encoches sur la chair qui calment la faim d’un ailleurs se juxtaposent aux ruines, au délabrement des lieux. Sortie ludique de la finitude et théorème de l’usure vitale se répondent. La réinvention de l’anatomie se heurte au chant du cygne. L’existence est un ring de boxe, la mort à mettre au tapis se présente comme une poupée blonde.

Les lanières, les sangles des harnais enserrant des corps nus, le jeu de la verticalité et des lignes horizontales entrent en résonance avec les lignes architecturales courbes d’un trottoir, avec les forêts de lignes verticales d’une porte et de garages.

Escalier désaffecté, corps réaffectés à d’autres jouissances, alchimie de la souffrance et du plaisir, libération par un esclavage joué et assumé…

MagLau apparie des réalités disparates dont il détecte des zones de ressemblance, qu’elles soient d’ordre formel, conceptuel, symbolique. Les matières synthétiques, les objets fabriqués affirment leurs liens avec la nature. Dans l’ère de l’Anthropocène, il n’y a plus ni nature « naturelle » ni artifice culturel. Le sexe est minéral, l’océan est sexuel. Des pans de l’univers se répondent. L’hypnotique image d’un squelette agenouillé, en position de prière, mains levées vers le ciel ou vers l’enfer, offre l’écho de la catwoman au masque en latex.

Un homme d’âge mur, anti-Prométhée moderne, enserré dans un harnais, qui nous offre les abysses de son regard, une créature à tête d’oiseau… MagLau ne se tient pas à l’écart de la scène underground, ne l’objective pas, n’induit pas par sa présence une surfétichisation des acteurs. Plongé dans les fêtes fétiches, il traverse le miroir de l’exhibitionnisme et défait l’exercice voyeuriste. Le grain brut du noir et blanc laisse émerger les affects, les tensions mentales lisibles à même les corps travestis, masqués, androgynes, enveloppés d’une seconde peau.

Par-delà les associations, le zoom sur des détails, des fragments corporels accentuent la subversion, le désaxage de la grammaire, de la logique des scènes underground. Des cygnes blancs, des murs éclaboussés de graffitis, un chien engoncé dans une poussette ricochent sur des pony boys et des pet girls. Des réseaux se mettent en place entre animaux empaillés et humains en celluloïd, entre rites occultes d’initiation et masques animistes, rétrofuturistes.

Les tourbillons d’écume d’une mer en furie côtoient le retrait intérieur d’un homme camisolé. Entre une statuette africaine mâtinée d’extra-terrestre et les motifs tribaux d’un crâne tatoué, des formes archétypales surgissent, lesquelles abolissent le temps et l’espace.

Il n’y a plus de frontières. L’homme se trans-animalise, se végétalise, la nature s’anthropomorphise, l’imaginaire s’inscrit dans le réel, la transe des sens, des corps qui se rencontrent épouse l’extrême solitude. Rien n’est plus vrai que le faux, rien n’est plus sérieux que le jeu. L’abject est sublime, le beau est laid, le laid est beau… nous dit Robert Mapplethorpe. Fair is foul, foul is fair entonnent les trois sorcières dans Macbeth. Quelques siècles plus tard, Robert Mapplethorpe écrit « Beauty and the devil are the same thing ». La nuit tombe dans la gueule du jour, la folie virevolte funambule sur le fil de la raison. Chaque fête semble répéter sa fin, sa naissance avortée.

Amputé de sa partie supérieure, un mannequin de bois monte la garde au milieu de figurines de Blanche-neige et des sept nains.

La délivrance côtoie le « no future ». Le nihilisme de la punkitude du XXIe siècle allie quête du crépuscule et voyage vers la lumière.

Le vide reste béance. Personne n’est captif de la cage ornée des lettres « SLAVE ». Les signes s’effilochent, abolis à force de proliférer.

Une cérémonie anale des fleurs, un visage piétiné par un pied nu tatoué comme un vitrail de cathédrale… autant de bribes de fêtes queer et cuir. Lors de rencontres d’un soir arraché au temps, on creuse dans la nuit des heures qui appartiennent à l’éternité. La vie brûle, la nuit est intérieure. On se cogne le crâne contre un ballet de lustres, on s’adonne à des amours fauves dans une cage à barreaux.                      

Les contraires se brouillent, adoration et profanation, enfer et extase passent l’un en l’autre.

Dans ces rituels païens, les garçons sauvages de Burroughs sautent à la gorge d’un réel trop lisse. L’ombilic du monde est saphique. Les voies de la jouissance ont pour noms arc-en-ciel de substances illicites, crissement des talons aiguilles sur un cristal fêlé.

Les tribus de la nuit courent plus vite que la mort, courtisent l’abîme. Exister, c’est s’inventer des vies tournoyantes, explosées, mordre, embrasser les lèvres des dieux fétiches.

Dans la vie, tout est une question de lignes qui bifurquent, qui s’affranchissent de leurs limites. Les lignes du corps, des pulsions, de coke, de paysages géographiques et mentaux fuient dans des univers parallèles. 

La solitude monte de corps sans destination. La part maudite de Bataille s’est transcendée dans des modes de subjectivation alternatifs. Les émois de la transgression, de la subversion des interdits et des normes se sont transfigurés en subcultures kinky explorant de nouveaux styles de vie.

Les photos de MagLau nous griffent, nous caressent, nous cinglent. Elles délivrent des cérémonies d’un érotisme noir, des messes a-théologiques où la mort prend peur d’elle-même.

Le livre refermé, le monde nous délivre des langages initiatiques, des polarités marginales. Dans la nuit rock’n roll, la voix de Lou Reed monte, déhanchement de Venus in fur.

     Kiss the boot of shiny, shiny leather

     Shiny leather in the dark

     Tongue of thongs, the belt that does await you

     Strike, dear mistress, and cure his heart.

Dans la nuit en feu, une ballade culte: une ballade au Fetish land.        

Biographie

MagLau est la fusion de deux artistes, unis dans le travail et dans la vie. L’un est peintre, l’autre est photographe. Ils vivent et travaillent à Bruxelles.

MagLau est la résultante de cette rencontre amoureuse qui leur a fait unir peinture et photographie. Dialoguant avec leurs sensibilités et leurs histoires propres, ils y développent une esthétique sombre, où le noir domine entre éclats de lumière intense.

MagLau nous propose une ballade dans un monde imaginaire « underground » qui est le produit de leurs peurs, fantasmes et désirs. Dans une sorte de nouveau surréalisme, les matières et les procédés se mélangent pour former des œuvres uniques qui se reconnaissent immédiatement par leur force et leur originalité.

Ils ont fait de nombreuses expositions individuellement ces cinq dernières années mais exposent pour la première fois ensemble en Belgique.

Solo exhibitions

2013

« Back to the Museum » / Gallery Pascal Polar – Brussels, BE

2010

« Back and Black » / Gallery Pascal Polar – Brussels, BE

Principals collectives exhibitions

2015

My Nightmare / Galeria Valid Foto – Barcelone ,ES

2014

Les rencontres photographiques – Le Mans, FR

2013

Pop-up exhibition for the little dream foundation / Gregoire Vogelsang gallery  – Brussels, BE

2012

« Valentine » / Begramoff Gallery – Brussels, BE

2011

« Persona » / Darkroom Gallery – Vermont, US

« An Art Path » / Gallery Pascal Polar – Brussels, BE

« Contrasts », « Shoot for Good » association / Tours &Taxis – Brussels, BE

2010

« Tout est mini » / Garden Gallery – Brussels, BE

« Movements! », « Shoot for Good » association / Tours &Taxis – Brussels, BE

2009

« OH MY GOD », « Shoot for Good » association / Tours &Taxis – Brussels, BE

contemporary art fairs

2013

Singapore Art fair / Bruno Art Galler – Singapore, SG

2012

New York Art affordable fair / Gregoire Vogelsang Gallery – New York US

Brussels Art affordable fair / Begramoff Gallery – Brussels, BE

2011

Brussels Art affordable fair / Begramoff Gallery – Brussels, BE

Publication

« Back to the Museum » / Éditeur : Husson Editions, 100 pages, April 2013

Antoine POUPEL

Né en 1956 au Havre

1982

Diplôme National Supérieur d’Expression Plastique.

1984-1985

Pensionnaire à l’Académie de France à Rome

1987

Lauréat de la Bourse de Recherche et de Création Léonard de Vinci, pour le Mexique et le Brésil, par le Ministère des Affaires Étrangères.

1990

Formation aux Nouvelles Technologies de l’Image (C.N.A.P.)

1992

Bourse du fond d’incitation à la création  du Centre National des Arts Plastiques, pour le projet Portraits de Personnalités.

ANTOINE POUPEL / CRAZY HORSE

En 1990, Antoine Poupel, photographe, rencontre Alain Bernardin, fondateur du Crazy Horse Paris lors d’une soirée au Crazy.

Photographe-portraitiste, Antoine Poupel lui propose de réaliser son portrait. Séduit par la sensibilité et le style de l’artiste, Alain Bernardin lui ouvre les portes de son prestigieux cabaret et surtout du lieu sacré des coulisses où les danseuses se préparent.

Il est alors le seul homme à avoir accès à l’envers du décor.

Pour célébrer les 60 ans d’existence du Crazy, Antoine Poupel témoigne dans l’ouvrage Crazy Inside aux éditions Du Chêne, 2011 :

« Cela fait désormais plus de vingt ans que mon objectif capte les dessous de « ces apprêts de désir » et jamais je ne pénètre dans les loges des danseuses sans cette petite appréhension, cette légère fébrilité qui, au moment d’appuyer sur le déclencheur, me transporte dans un univers fait de confidences et d’épiderme. 

Un univers qu’Alain Bernardin m’offrit de réveler par le médium photographique. ».

La série de photographies CRAZY HORS  invite le visiteur à un parcours photographique des coulisses vers la scène, de l’intimité des artistes vers l’effervescence du show.

La réussite de cet ensemble de photographies tient à une rencontre entre deux hommes et à la convergence du sens esthétique d’Alain Bernardin et de ses propres exigences stylistiques.

Antoine Poupel a su capter la magie des tableaux inventés par Bernardin, où la mise en scène et les jeux de lumières, valorisent, dématérialisent et soulignent d’une manière unique la plastique des corps.

ANTOINE POUPEL/ ZINGARO

Les photographies d’Antoine Poupel dévoilent l’immense complicité entre un homme et son cheval, mêlant folie et poésie, elles révèlent toute la beauté du théâtre équestre.

Antoine Poupel rencontre Bartabas en 1990 alors qu’il réalise une série de portraits de personnalités. Bartabas, directeur et fondateur de Zingaro, lui demande alors de réaliser un livre sur son spectacle et sur la vie quotidienne de la troupe. Antoine Poupel a depuis souvent accompagné Bartabas dans ses tournées à l’étranger, cette collaboration de plus de vingt ans a donné lieu à neuf ouvrages monographiques ou collectifs et plusieurs expositions présentées dans le monde entier. Antoine Poupel a également été le photographe de plateau du film Chamane, tourné par Bartabas pendant deux mois en Sibérie.

Les photographies d’Antoine Poupel dévoilent l’immense complicité entre un homme et son cheval, mêlant folie et poésie, elles révèlent toute la beauté du théâtre équestre.

« L’expression équestre, déclinée comme une forme artistique à part entière, se situe aux côtés des arts vivants que sont le théâtre, la danse et la musique. Mais la démarche originale et novatrice entreprise par le théâtre équestre Zingaro, voilà maintenant presque un quart de siècle, l’a d’emblée positionné sans famille artistique. Il est donc toujours émouvant pour moi de découvrir des  « compagnons d’art » que notre travail inspire : ici, c’est le regard d’Antoine Poupel qui est une source d’enrichissement.

D’autant plus quand notre collaboration se prolonge par une amitié qui s’est forgée patiemment avec le temps, nourrie par quantité d’expériences vécues en commun à travers le monde; d’Aubervilliers à New York, de Moscou à Tokyo, partout où s’est produit le théâtre Zingaro, jusqu’au fin fond de la Sibérie où Antoine n’a pas hésité à me rejoindre comme photographe de plateau (plateau à ciel ouvert à -30°C lors du tournage de Chamane).

Antoine Poupel, finalement me connaît bien et ce n’est pas un inconvénient; il ne connaît rien aux chevaux et c’est un gros avantage; en effet il n’est pas tenté de faire des photos « hippologiquement correctes », et cela lui a permis de prendre avec son sujet la distance nécessaire pour s’exprimer pleinement. Chaque photo et montage qu’il nous présente est une réinterprétation des œuvres de Zingaro qu’il a découvertes année après année.

Il n’est sans doute pas nécessaire de répéter ce qu’on aura compris en lisant entre les lignes qui précèdent, mais je le dirai pourtant : pour Antoine Poupel, dont j’apprécie les vertus artistiques et les qualités humaines, j’ai la plus grande et la plus sincère affection, fraternelle. » Bartabas, 2007

Bart RAMAKERS

Bart Ramakers (1963) a grandi en Belgique, sur les rives de la Meuse, dans l’ombre des frères Van Eyck. Il travaille près de Bruxelles (Belgique). Dès l’enfance, il a dessiné, gravé et peint, inspiré par les maîtres flamands, par des récits historiques, de la musique et de l’opéra baroque et romantique. Ses tableaux photographiques s’inspirent de mythes classiques, des légendes et des histoires. Ils racontent (dans une perspective contemporaine) de la beauté et de la puissance, de la passion et de la trahison, de la sensualité et de la brutalité, la vie et la mort, souvent avec une touche ironique, sarcastique ou humoristique. Les rapports hommes / femmes sont souvent inversés, et la morale chrétienne de la souffrance et de la rédemption est remplacé par un amour optimiste et généreux. Son oeuvre (parfois joyeusement anachronique) est plein de références à l’histoire de l’art, le cinéma et la littérature.

Biography

Bart Ramakers (1963) grew up in Belgium, at the banks of the river Meuse, in the shadow of the Van Eyck brothers, and works near Brussels (Belgium). From childhood he drew, etched and painted, inspired by the Flemish Masters, by historical stories, baroque and romantic music and opera. His photographic tableaux usually descend from classical myths, legends and stories. They tell (from a contemporary perspective) myths of beauty and power, passion and betrayal, sensuality and brutality, life and death, often with a slightly ironic, sarcastic or humorous touch. The male / female relationships are often reversed, and Christian morality of suffering and redemption is replaced by enjoying an optimistic and generous love. Not suffering will save the world, but love, according to his version of the Last Supper (Agnus Dei, 2014). In his (sometimes cheerfully anachronistic) works references to art history, film and literature rave rampant.

solo exhibition

2014

Hôtel Le Berger in collaboration with Galerie Émilie Dujat and Neo Retro Agency / « Strangers in the Night » – Brussels, BE

Duo-exhibition with Dany Tulkens, CC De Markthallen / « The Naked Truth »- Herk-de-Stad, BE

Gallery 3000 Knokke (with Dany Tulkens, Philippe De Smedt and Haute Cuisine) – Knokke, BE

De Notelaer / « De Apotheose van Flore » – Hingene (Bornem), BE

Galerie Émilie Dujat / « Amor Aeternus » – Brussels, BE

B•Art, Flanders Expo, Art Gent (with Dany Tulkens) – Gent BE

Fotofever, Tour & Taxis / Galerie Emilie Dujat – Brussels, BE

International group exhibition

2015

« One big Family », « Such stuff as dreams are made on » on display (with Hans Op de Beeck, Koen Vanmechelen, Wim Delvoye, Delphine Boel, Fred Bervoets, Dany Tulkens, Bart Ramakers …), Landcommanderie – Alden-Biesen, BE

« Sweet 18 », first presentation of 3-screen video « Minuet in C minor » – with also works by Erwin Olaf, Cindy Sherman, Wim Delvoye, Philippe Starck, Walter Van Beirendonck. Kasteel d’Ursel – Hingene, BE

« Trouble in Paradise », retrospective solo exhibition 2009-2015 topped with a fine selection of new works. Hoste Art Residence – Brugge, BE

« Stupid Cupid », solo exhibition with mythologically inspired pictures. This is a constantly evolving exhibition, as new works will regularly be added, taken in the Hof ter Linden itself during this exhibition. Hof ter Linden – Edegem, BE

Art Monaco, MC

Group exhibition

2015

Galerie Hubert Konrad /  « Contemporary Photography » (with Bart Ramakers, Frederic Fontenoy, Anthoy Mirial, Claude Alexandre, Jean Pierre Leloir) – Paris (FR

2014

Leopold 22 Gallery (with Haute Cuisine and Dany Tulkens) – Antwerp, BE

Kasteel Le Paige /  « SubLUMINAL » (with Peter Snijder, Filip Sterckx, Eline ‘t Sant, …) – Herentals, BE

Fotofever Paris / Galerie Emilie Dujat, Carrousel du Louvre (with Frédéric Fontenoy and Stéphane Gizard) – Paris FR

Gemluc Art, Auditorium Rainier III – Monaco,  MC

2013

Galerie Émilie Dujat / « Pleine Lune » – Brussel, BE

Batenborch / « Abyssinia: Mind the Gap » – Peutie, BE

Galérie Emilie Dujat / « Nus au soleil » – Brussels, BE

Tres / « Tres Rouge » – Leuven, BE

Rood Huys / « ‘t Rood Huys nodigt uit: Bart Ramakers » – Leuven, BE

Galerie Émilie Dujat / « L’Homme » – Brussels, BE

2012

Sint-Michielskerk / « Trinities » – Leuven, BE

2011

Lovenjoel / « Kasteel de Spoelberch » with Dany Tulkens – BE

« Passions » (exposition with Alain Poncelet): Leuven, BE

2009

« Weg van Woorden » – Leuven, BE

Bibliographie

2015

« Trouble in Paradise », 120 pages with recent work, introduction by Johan Van Cauwenberge (art reporter radio Klara), hardcover, 50 euro.

20 pages reportage in « Normal Magazine n°5 »: more news on where to get and how to order on http://www.normal-magazine.com

2015 calendar with 8 pictures from « Strangers in the Night », by Masterprinters Lamine, a gem 42 x 60 cm big. 

Bart Ramakers, In illo tempore, De Cavalerie, 2013. 21 x 29,7 cm, 96 p. 

Jan Flamend & Bart Ramakers, Weg van Woorden, De Cavalerie, 2009. 22 x 28,5 cm, 164p. (out of print)

Bart Ramakers, Caught in a tale, De Cavalerie, 2011. 20,5 x 25,5 cm, 80 p. (out of print)

Joel PERSON

Born in 1962 in Abidjan (Côte d’Ivoire), lives and works in Paris

Collections & Acquisitions

Hermès Collection: My drawings are currently exhibited in stores in Paris-Faubourg Saint-Honoré, Bordeaux, Milan, Istanbul, Tokyo, Shanghai, Dubai, Las Vegas…

Private collections in Paris, Saint-Paul-de-Vence, Monaco, London, Stockholm, Berlin, Zurich, Beirut…

Auctions & Salons

With Jacques Villeglé, Claude Viallat, Mircea Cantor, Ronan & Erwan Bouroullec, Christian Lacroix,
Françoise Petrovitch…: Auction Action contre la faim, Artcurial, Me Francis Briest, Paris /
Art London / Watercolours & Drawings Fair, London

Residencies

Bosnie Herzegovine

La Colombière, Institut de France – Saumur, FR

Medana, Slovénie

Heinrich Böll Cottage, Irlande

Zhangjiajie, CN

PRESS


es 400 culs par Agnès Giard (Liberation.fr)

Nuke magazine / Le Monde 2 / liberation.fr / Beaux Arts magazine / etapes.com / Ironie (literary review)…

PUBLICATIONS

Le Cahier Dessiné #10 (Décembre 2014). 4 pages dedicated to my work

Illustration of the book Les nouveaux monstres of Marco Caramelli (Bruit Blanc editions)

Le Cahier Dessiné #9 (March 2014). 18 pages dedicated to my work

DERATISME #33 BÊTE B
 on line magazine, 2012

EDWARDA, N°7 Fatalement, 2012

En souvenir du monde, from Frédéric Pajak & Lea Lund, book & DVD (Noir sur blanc editions), 2010

Joël Person, monograph (published by Jacques Frézal / Galerie épisodique), 2008

Illustrations : Le Monde (newspaper) / Beaux Arts magazine (published by Flammarion) / Archaelogy (review published by Archeological Institute of America) / Abstract (covers, scientific review) / La Tombe du prince kazakh (documentary, Gédéon program – Arte)…

Selected Exhibitions

2015

Solo show, Galerie Dix9 / « La réalité du trait » – Paris, FR

Group show, Halle Saint Pierre / « Le Cahier Dessiné » – Paris, FR

2014

Déplacements, National Wetland Museum of China – Hangzhou, CN

Histoires de je, Dix9 Gallery – Paris, FR

Insurrections, Episodique Gallery (Nuit blanche 2014) – Paris, FR

Emilie Dujat Gallery / « Trans-figuration 2 » – Brussels, BE

Solo show, the Library Sigmund Freud – Paris, FR

2013

Gallery Moos, curated by Gordon Novak – Toronto, CA

Solo show, Émilie Dujat Gallery/Trans-Figuration 1 – Brussels, BE

Two exhibitions in China: Hangzhou & Yard galerie de Shanghai, CN

Exhibits within the Yves Person international colloquium : at Sorbone  & Episodique Gallery – Paris, FR

Chairs/Flesh at the 28 Gallery – Paris, FR

2011

Irony Festival at the Episodique Gallery / « Dessins »- Paris, FR

2010

Invited by Jean-Claude Chianale, Journées du patrimoine, musée d’Art et d’Histoire / « La peinture comme acte sensuel » – Chaumont, FR

Group show, Episodique Gallery / « Mosaïque »  – Paris, FR


2008

Solo show, Ventilo Gallery / « Une cartographie de repentirs » – Paris, FR

Episodique Gallery / »Ponctuations érotiques » , with Jean-Claude Chianale – Paris, FR

Group show, Centre d’art contemporain Bouvet-Ladubay – Saumur, FR

2004-2007

Solo show, Vivienne Gallery – Paris, FR

Solo show, La Cymaise Gallery – Paris, FR

Solo show, Hippodrome de Longchamp, Prix de l’Arc de triomphe  – Paris, FR

3 days / Quartier Drouot, group show, 9th Arrondissement Town Hall – Paris, FR

Group show, Théâtre équestre Zingaro-Bartabas – Paris, FR

Group show, Haras national du Pin – Normandy, FR

Group show, Château-musée Saint-Jean – Nogent-le-Rotrou, FR

Solo show, Château Quentin – Saint-Émilion, FR

Collections & Acquisitions

Hermès Collection: My drawings are currently exhibited in stores in Paris-Faubourg Saint-Honoré, Bordeaux, Milan, Istanbul, Tokyo, Shanghai, Dubai, Las Vegas…

Private collections in Paris, Saint-Paul-de-Vence, Monaco, London, Stockholm, Berlin, Zurich, Beirut…

Auctions & Salons

With Jacques Villeglé, Claude Viallat, Mircea Cantor, Ronan & Erwan Bouroullec, Christian Lacroix,
Françoise Petrovitch…: Auction Action contre la faim, Artcurial, Me Francis Briest, Paris / Art London / Watercolours & Drawings Fair, London

Residencies

Bosnie Herzegovine

La Colombière, Institut de France – Saumur, FR

Medana, Slovénie

Heinrich Böll Cottage, Irlande

Zhangjiajie, CN

PRESS

Les 400 culs par Agnès Giard (Liberation.fr)

Nuke magazine / Le Monde 2 / liberation.fr / Beaux Arts magazine / etapes.com / Ironie (literary review)…

PUBLICATIONS

Le Cahier Dessiné #10 (Déc. 2014). 4 pages dedicated to my work

Illustration of the book Les nouveaux monstres of Marco Caramelli (Bruit Blanc editions)

Le Cahier Dessiné #9 (March 2014). 18 pages dedicated to my work

DERATISME #33 BÊTE B
 on line magazine, 2012

EDWARDA, N°7 Fatalement, 2012

En souvenir du monde, from Frédéric Pajak & Lea Lund, book & DVD (Noir sur blanc editions), 2010

Joël Person, monograph (published by Jacques Frézal / Galerie épisodique), 2008

Illustrations : Le Monde (newspaper) / Beaux Arts magazine (published by Flammarion) / Archaelogy (review published by Archeological Institute of America) / Abstract (covers, scientific review) / La Tombe du prince kazakh (documentary, Gédéon program – Arte)…

Jean Claude WOUTERS

Wouters (b. 1956) is a belgian artist, who lived and worked in Brussels, Paris, Tokyo, Italy, Dubai, and is now based in Los Angeles. 

He studied drawing from an early age, then Ballet, film and various performing arts. In his career as an artist he has shown an intense sensitivity to the nature of both the body and the spirit.

After studying and dancing with Maurice Béjart in late 70’s, Wouters started to work as a performing artist and as an independent filmmaker, with his work selected by the British Film Institude, the Director Fortnight section at the Cannes Film Festival in 1981 (Brian Eno – Music for Films), and receiving several awards in international film festivals.

Selected solo exhibitions include “PORTRAITS & NUDES” Ariel Meyrowitz Gallery (New York, 2005), “FACES”, Knott Gallery (Brussels, 2008), “PORTRAITS”, “SHADOW OF THE SKY”, ”BUDDHAS” The Marunouchi Gallery (Tokyo 2006, 2008, 2009), « LANDSCAPES ” The Empty Quarter Gallery (Dubai, 2009), Taka Ishii Gallery (Kyoto 2010).

Wouters has also collaborated with fashion designer Marc Jacobs for ARTREAGEOUS at Bloomingdale’s (New York, 2007). In 2011, he performed at the LACMA museum (Los Angeles), and at the MOCA museum (Tucson, AZ).

In 2012 he was awarded the POLLOCK-KRASNER Foundation Grant in NYC.

Biography

Born In 1956 Brussels Belgium

Lives and works in Brussels and Los Angeles

Education

1974

ERG – Brussels, BE

1975

INSAS – Brussels, BE

1976-1979

MUDRA – Brussels, BE

Solo exhibition

2014

“Unseen Paintings by Disappeared Artists” KnottShop – Brussels, BE

2010

Noho Modern Gallery / “Portraits & Buddhas” – Los Angeles, US

2010 

Taka Ishii Gallery / « The Sweetest Embrace » – Kyoto, JP

2009

Marunouchi Gallery / « Buddhas » – Tokyo, JP

2008

Block Knott Gallery / « Faces & Traces » – Brussels, BE

2007

Marunouchi Gallery / « Spirit of the Sky » – Tokyo, JP

In Situ installation for Alain Hubert –  Château de Seneffe / « Midnight is the True Light » – Seneffe, BE

Bloomingdale’s / « Artreageous » in association with Marc Jacobs – NYC

2006

Marunouchi Gallery / « Portraits » – Tokyo, JP

Hillstone, Shoto / « Buddhas & new things » – Tokyo, JP

Bloomingdale’s Soho / « Portraits – the invisible exhibition « –  NYC

2005

Ariel Meyrowitz Gallery, Chelsea / « Portraits & nudes » – NYC

« Private Showing » with Jean Paul Knott – NYC

2004

Hillstone, Shoto / « Portraits »  – Tokyo, JP

Group exhibitions

2015

World Trade Center 13rd floor / « MANIFESTO » Curator Stephanie Pécourt  – Brussels, BE

2010

Tokyo Photo  – Marunouchi Gallery – Tokyo, JP

Shanghai Artfair – Marunouchi Gallery – Shanghai, CN

Tokyo ArtFair – Marunouchi Gallery – Tokyo, JP

2009

The Empty Quarter Gallery / « Landscapes »  – Dubai

Taka Ishii Gallery / « Armory Show » – New York, US

2008

Nailya Alexander Gallery / « The Visual Path » – New York, US

Tokyo ArtFair – Marunouchi Gallery – Tokyo, JP

La Réserve – VIP program Fiac / « Chambres à Part »curated by Laurence Dreyfus – Paris, FR

2007

Galerie Vie / « Love the Belgian Way » curated by Jean Paul Knott – Tokyo , JP

2005

Group exhibition, hôtel SEZZ / « Chambres à Part » curated by Laurence Dreyfus – Paris, FR

First Art Triennale of Hasselt / « Beauty without Irony » curated by Ninette Murk – Hasselt, BE

2004

TAF Gallery, curated by Hidemi Iizuka / « Track 04 » – Paris, FR

2002

Patricia Dorfmann Gallery, curated by Artus de Lavileon / « 6 years of exhibition at NIM » – Paris, FR

 « 5 manifestations + 1 non lieu » Agnès B. – rue Dieu, curated by Emmy de Martelaere – Paris, FR

2000

« non-lieu #1-terrain vague », rue Saint Nicolas, curated by Emmy de Martelaere – Paris, FR

Special projects

2011

« Crinoline Man » filmed performance in the Resnick Pavillion –

 LACMA museum – Los Angeles, US

« Shadow Walker » Artist Residency at the Museum of Contemporary  Art Tucson – AZ  filmed performances, photographies, drawings – Tucson, US

Selected Bibliography

2010

Tsukasa Ikegami (Curator, Ohtani Museum, Nishimiya City), Repetitive Exposure & Questionning the Status of Memory, Nikkei News, March 3

2009

Marius Gombrich, Looking for Personal Definition,The Japan Times, December 19

Oliver Good, An Array of Altered Images, The National (Arts). Abu Dhabi, June 1

2008

Photo or Painting?, De Standaard Newspaper, Brussels, April 14

Following the Trace, LeVif Weekend Magazine, Brussels, April 25

Tokudaji, Shadow of the Sky, A Window of Art Magazine, Japan, March; also  published in Art Collector Magazine, No.6, Japan

Goto Shigeo. Interview, Esquire Japan, Vol.22, No.3, March

Photos That Yearn For Shadows , Geijutsu Shincho, Japan, January

2007

Didier Stiers, Two Journeys Towards The Light, Le Soir Newspaper, p.45, Brussels, October 13

Yukiko Temiyama, RT Picks Overview, Real Tokyo, December 12;

Art Access, Japan. December

Kumagai Toyoma. The 50 Photographers You Have To Know. MacPower Magazine, Japan, May

2006

Ayako Fujita, Jean Claude Wouters Exhibition: Portraits, ‘Condensed Essence’

Sankei Shimbum Newspaper, Tokyo, June

Portraits, Catalogue of the Exhibition, Marunouchi Gallery – Tokyo, JP

2005

The New York Times, Weekend Arts, June 3

Nicole Rose Bouchard. A Quiet Surprise. The L Magazine, New York, May 11-May 25

2001

Wouters – Johannes Wouters, Portfolio with nine color portraits, FR

5 Manifestations + 1 Non Lieu, Pub. Emmy de Martelaere – Paris, FR

2000

Desire, Book of Photography, Patrick Rémy (Ed.), Éditions Seidl – Göttingen, DE

Corine LESCOP

Corine Lescop peint sur papier de riz marouflé sur toile depuis bientôt 30 ans. Elle utilise une technique mixte qui mêle peinture à l’huile, pose de feuilles d’or & d’argent et graffiti markers.

Son travail se développe autour de trois thématiques inspiratrices : la nature, le corps humain, et son amour pour les paysages qu’elle a eu l’occasion d’admirer lors de ses voyages en Afrique du Sud ou dans le Sud-Ouest de la Chine.

Diplômée de l’École Nationale des Beaux-Arts de Paris, elle complète sa formation occidentale par 30 ans d’apprentissage de techniques orientales qu’elle utilise dans chacune de ses collections.

L’œuvre de Corine Lescop est appréciée dans tous les continents, ses tableaux sont entrés dans de nombreuses collections privées.

BIO

Corine Lescop has been painting on rice paper marouflaged on canvas for almost 30 years. She uses a mixed technique that mix- es oil paint, gold & silver foils and graffiti markers.

Her work revolves around collections that express nature, the hu- man body and her love for the landscapes that she had the oppor- tunity to admire during her travels in South Africa or in the South West of China.

A graduate of the École Nationale des Beaux-Arts de Paris, she completes her Western training with 30 years of learning Eastern techniques that she uses in each of her collections.

Corine Lescop’s work is appreciated in all continents, and her paintings have entered many private collections.

Nathalie PIROTTE

Dominique LEBRUN

EXPOSITIONS

2011

« Collages » Galerie Flora Jansem, avenue Matignon, Paris

2014

Purgatoire, rue de Paradis, Paris

2015

Galerie Origine, rue des Écouffes, Paris

2016

« Déchirures » Galerie BY Chatel, rue des Tournelles, Paris

Hotel La Vigne, Ramatuelle

2017

“Tous Mes Cinémas“ Espace Beaurepaire, Paris

“Saint-Tropez-des-Prés“ Hôtel de Paris, Saint-Tropez

“La Cow Parade fait son cinéma“ La Baule – Dinard – Deauville

2018

«Cris et chuchotements» Espace Beaurepaire, Paris

Collectionneur de photos et d’affiches de cinéma, journaliste, historien de cinéma, Dominique Lebrun est l’auteur de plusieurs livres dont deux publiés chez Hazan : « Paris-Hollywood » et « Hollywood » ; et un chez Bordas : « Trans Europe Hollywood ». Il a aussi co-écrit le « Dictionnaire de la Mode au XXe Siècle » aux Éditions Du Regard et le « Catalogue du Musée du Cinéma Henri-Langlois » pour les Éditions Maeght.

Toujours en quête d’expériences inédites, il s’aventure en parallèle sur de nouveaux territoires : il tient une galerie d’art primitif, devient documentaliste pour un célèbre designer et s’essaie même au jeu d’acteur dans plusieurs courts-métrages dont « Toux Therapy », « Antoine » et « Le Ventre de l’Ours » de Jean-Philippe Laraque.

En 2008, il tombe en arrêt devant la photo d’un mur d’affiches lacérées à New York, prise par l’acteur Dennis Hopper. Hanté par cette image qui le submerge de souvenirs de collages et de découpages faits dans son enfance et son adolescence, il réalise quelques mois plus tard, un premier collage en déchirant sa collection de « Mon Ciné », revue des années 20 qu’il gardait précieusement depuis près de 40 ans.

Enthousiasmé par le plaisir que lui procure cette transgression, il poursuit sa démarche, cette fois en s’attaquant à sa collection d’affiches de cinéma.

C’est une véritable révélation.

Inspiré par la matière, guidé par les couleurs, les formes, les mouvements, il déchire, éparpille, colle, superpose, disloque, assemble pour recomposer des portraits, des scènes, des actions et des paysages fantasmés, parfois aux limites de l’abstraction.

« À 9 ans, je découpais les photos de la revue « Cinémonde » pour les coller sur les pages de mes cahiers d’écolier. Adolescent, je récupérais dans les cinémas de quartier, les affiches des films qui m’avaient fait rêver. Aujourd’hui, c’est comme si en déchirant et recomposant ces trésors en toute liberté, je transgressais une boucle avec passion. Comme si tout en moi prenait enfin sa place. »

EXHIBITIONS

2011

« Collages » Galerie Flora Jansem, avenue Matignon, Paris

2014

Purgatoire, rue de Paradis, Paris

2015

Galerie Origine, rue des Ecouffes, Paris

2016

« Déchirures » Galerie BY Chatel, rue des Tournelles, Paris

Hotel La Vigne, Ramatuelle

“All My Movies“ Espace Beaurepaire, Paris

“Saint-Tropez-des-Prés“ Hôtel de Paris, Saint-Tropez

“The Cow Parade at the Movies“ La Baule – Dinard – Deauville

2018

«Cries and whispers» Espace Beaurepaire, Paris

A collector of cinema stills and posters, journalist Dominique Lebrun is the author of several books including « Paris Hollywood » (Hazan) and Hollywood » (Hazan & Gingko). He also co-wrote the « Catalogue du Musée du Cinéma Henri-Langlois » (Maeght).

In 2010, he makes his first collage, using his precious collection of « Mon Ciné » 1920’s movie magazines he carefully kept for almost 40 years. Thrilled by this experience, he decides to continue exploring this path, turning this time to his collection of movie posters.

Guided by colors, shapes, movement, he tears up, scatters, pastes, superimposes, dislocates, assembles to recompose imaginary scenes, landscapes and portraits, sometimes on the verge of abstraction.

«When I was 9, I used to cut photos out of « Cinémonde » movie magazines and paste them in my school notebooks. When I was a teenager, I reclaimed film posters from local theaters playing movies I loved. Today, experiencing the freedom of tearing up and recomposing these treasured items is to follow and transgress at the same time the circle of my life, with passion. Suddenly, deep inside of me, everything feels right and makes sense, at last.»

Christian BERTHELOT

CESAR – Premières secondes sur Terre

En 2012, grâce à sa rencontre avec le Dr. Jean-François Morienval, obstétricien à l’Hôpital Privé des Côtes d’Armor (Bretagne), Christian Berthelot découvre le monde du bloc opératoire et de l’accouchement. Suivra alors la série «CESAR – Premières secondes sur Terre», des portraits d’enfants, tous nés par césarienne, tous survivants.

«La série César restera comme l’un des chocs de l’édition 2015 de Circulation(s), le festival de la jeune photographie européenne. Nous avons eu un immense coup de cœur pour ces nouveau-nés saisis à leurs premiers instants de vie, au seuil de leur humanité. Tout de suite après la violence, la crudité, voire la peur ou la répulsion que l’on peut éprouver de prime abord, domine rapidement le sentiment de grâce qui émane de ces petites victoires de la vie: tous ces bébés sont nés par césarienne sous la lumière brutale d’un bloc opératoire. Comment un travail documentaire est susceptible de déboucher sur une démarche artistique originale, c’est aussi ce que nous raconte Christian Berthelot, photographe de spectacle et auteur de cette exceptionnelle série.

La série César est née de la rencontre d’un jeune père dont le premier enfant est né par césarienne, et du médecin accoucheur qui a réalisé l’intervention : d’un côté Christian Berthelot, photographe de spectacle (théâtre et danse), de l’autre Jean-François Morienval, obstétricien au centre hospitalier privé de Saint-Brieuc, où ont été réalisées les photos. De leur dialogue est née l’idée d’une série documentaire sur le quotidien d’un service de maternité. Un travail qui a donné naissance au projet artistique CESAR.»

Françoise Bensaid / Réponses Photo.

OCULUS

«Après la série CESAR, quoi de plus évident pour moi que de photographier le sexe. Des hommes et des femmes qui le font, avec envie et sans gêne.

Sans présence intrusive, les hommes et les femmes étaient libres. Seul un œil – OCULUS en latin – au-dessus de la scène, immortalise les actions, les mélanges et les émois.

Toutes ses images sont le fruit du hasard. Dès que le dispositif semi-automatique est lancé, le déclenchement de l’appareil photo se fait toutes les 16 secondes et aussi longtemps que le souhaite les baiseurs et les baiseuses.

Je voulais être surpris, ne rien devoir m’imposer, laisser libre le hasard de me proposer ses choix, les miens étant définitifs à la fin.»

Propos de Christian Berthelot au sujet de sa série Oculus.

REQUIEM – Le poids des corps

«Des corps nus allongés sur une plaque en verre transparente, pour parler de l’abandon, du dernier repos, de la mort.

Le poids du corps c’est ce qui reste après la mort. Sous son propre poids, le corps se déforme, il se plie à la seule volonté de la gravité. Je voulais voir cet esthétisme si particulier qu’est l’écrasement. Je cherche le corps de l’autre, celui qui s’apaise et qui se laisse aller à la raideur et au froid du verre. Je cherche du corps, sa limite physique entre beauté et monstruosité.

Il n’est pas si aisé pour le vivant de contrefaire la mort. Note de dernière minute. Ma grand-mère est décédée le lundi 2 octobre 2017 à 3h23, avec la peur de mourir jusqu’au dernier moment.

Pourtant elle n’a pas manqué de courage pour vivre jusqu’à l’aube de ses 98 ans. J’ai également peur de mourir, mais à quoi bon, la mort n’est elle pas la même pour tous ?»

Propos de Christian Berthelot au sujet de sa série Requiem

Walter DE LAET

Audrey GUTTMAN

JPMDR

‘Comme support de développement à son écriture picturale, le plasticien Jean-Marc De Pelsemaeker (1968) emprunte souvent des images surgies du passé. Puisées, entre autres, dans l’œuvre des grands maîtres de la Renaissance occidentale.

Chargées d’une valeur symbolique, esthétique ou formelle, ces images isolées de leur sphère métaphorique, sont analysées par l’artiste, soumises à son filtre mental, synthétisées puis retranscrites dans le champ plastique. « Ce qui m’intéresse, explique-t-il, c’est de capter l’énergie des images et de la concentrer en une charge pure, sans nom et sans emploi. Il me faut l’isoler, l’extraire par des moyens plastiques pour l’examiner ».

Cette sorte d’écriture-peinture, foisonnante de signes et autres rinceaux minuscules, sature l’espace avec une précision de scriptorium. Véritable transe picturale, dûment contrôlée par l’œil virtuose du praticien, elle réagit à la diffraction conjointe de la lumière et de la couleur, pour générer des figures nouvelles, comme transfigurées ou réenchantées par cet exercice de style qui leur compose une autre jouvence. Partant, la démarche s’inscrit dans une modernité qui vient bouleverser le langage de la peinture, le gratifier d’une incarnation nouvelle et susciter chez celui qui regarde habilement de nouvelles clés de compréhension du monde.’

Christophe Dosogne

J.M. de PELSEMAEKER

‘Comme support de développement à son écriture picturale, le plasticien Jean-Marc De Pelsemaeker (1968) emprunte souvent des images surgies du passé. Puisées, entre autres, dans l’œuvre des grands maîtres de la Renaissance occidentale.

Chargées d’une valeur symbolique, esthétique ou formelle, ces images isolées de leur sphère métaphorique, sont analysées par l’artiste, soumises à son filtre mental, synthétisées puis retranscrites dans le champ plastique. « Ce qui m’intéresse, explique-t-il, c’est de capter l’énergie des images et de la concentrer en une charge pure, sans nom et sans emploi. Il me faut l’isoler, l’extraire par des moyens plastiques pour l’examiner ».

Cette sorte d’écriture-peinture, foisonnante de signes et autres rinceaux minuscules, sature l’espace avec une précision de scriptorium. Véritable transe picturale, dûment contrôlée par l’œil virtuose du praticien, elle réagit à la diffraction conjointe de la lumière et de la couleur, pour générer des figures nouvelles, comme transfigurées ou réenchantées par cet exercice de style qui leur compose une autre jouvence. Partant, la démarche s’inscrit dans une modernité qui vient bouleverser le langage de la peinture, le gratifier d’une incarnation nouvelle et susciter chez celui qui regarde habilement de nouvelles clés de compréhension du monde.’

Christophe Dosogne

Stephen SACK

Personal Exhibitions

2015/2016

Incarnatio, Galerie Emilie Dujat, Brussels

2015

Euro Meltdown, Rijksmuseum van Oudheden, Leiden

The Room of Lost Coins, Kestner Museum Hannover

2014

Coventinaʼs Well, Chesters Roman Fort Museum – Hadrianʼs Wall

2013

Passions, Eglises Saint- Merry – Paris

2012

Passions, Cathédral Saints Michel & Gudule Bruxelles

2010

Night creatures, Galerie Duqué & Pirson, Bruxelles

2008

Flora Magica, Musée de la Mine du Nord-Pas Calais

2007

Inédit-Ianchelevici vu par Stephen Sack, Musée Ianchelevici, La Louvière

2006

Keystones, Musée National dʼArchéologie de Lisbon

2005

Vases, Musée de la Faïence de la manufacture Royal Boch

2004

The Metal Mirror, Gallery Ariel Meyerowitz, New York

2003

Fantasmagoria, Het Huis van Alijn, Gent

2002

Edition of The Metal Mirror, Agenda for the Dexia Bank

1999

The Metal Mirror, The British Museum, London

1997

Retrospective La Mémoire Chromosomique, Chateau Musée de Dieppe

1996

Natural History, James Danziger, New York

1995

Retrospective The Chromosomic Memory (Muhka), Museum of Contemporary Art,

1994

Gargoyles, Galerie Fred Lanzenberg, Brussels

1993

Allumette, Palais des Beaux-Arts Charleroi,

1992

LʼHistoire naturelle, Musée Buffon, Monbard

1990

Illuminations, Galerie Friedrich, Cologne

1989

Chromosomic Memory, Kunst-Station St. Peters, Cologne

1988

Cryptic Messages, Galerie Fred Lanzenberg, Brussels

1987 * Galerie Agathe Gaillard, Paris

1984

LʼOeil Pluriel, Le Salon dʼArt, Brussels

1983

Malte Mythique, Galerie du Musée de la Photographie, Charleroi

1981

Cave Dances, Palais des Beaux-Arts, Brussels

Group Exhibitions

2015

Icons, Maison Particulière Brussels – till July 5 2015

2013

Mindscapes, Central(e) for Contempory Art – Brussels

2012

Closer to Thee, Galerie Transit, Mechelen, Belguim

2010

Quand la photo prend le temps, La Médiatine, Brussels

2009

Collection M&M Auer, Museum of Modern Art, Sao Paula

2007

Collection de Thomas Nierynck, Musée de Mons

2006

Portrait dʼune collection : IDEA, Musée de la Photographie, Charleroi

2001

Paris en 3-D, Musée Carnavalet, Paris

2000

The Fifth Element: Money or Art, Kunsthalle Dusseldorf

1998

Opening, James Danziger, New York

1997

Hommage to James Lee Byers, Zwalm, Belguim

1995

La Géometrie sacrée, Galerie Marie-Puck Broodthaers, Brussels

1994

La Photographie contemporaine, Musée dʼArt Moderne, Paris

1993

Aktuele Belgische Kunst, Museum of Photographie, Antwerp

1991

Palais de Toyko, Paris

1990

40 ans Jeune Peinture Belge, Palais des Beaux-Arts, Brussels

1989

Lʼoeil de la Lettre, Palais de Tokyo, Paris

1987

Jeune photographie, Galerie Municipale du Chateau d’eau, France

1988

Questioning Europe, Fotographie Biennale, Rotterdam

1986

Capriccio, Palais des Beaux-Art, Brussels

1985

International Photo, Malmo

Awards and Public Collections

2014 * British Museum, London

2014 * Chester Fort Museum, Northumberland, England

2013 * Musée d’art religieux moderne, Basilique de Koekelberg

2011 * Bibliothèque Royale de Belgique

2008 * Musée de la Mine, Lewaerde, France

2006 * collection IDEA

2005 * Musée de la Photographie, Charleroi

2004 * LʼHoist Collection de photographie, Belgium

2003 * Dexia Banque , Brussels

2002 * Edition of six photo plates, Villeroy & Boch

2001 * Petercam, Brussels

2000 * Dorint Hotel, Brussels

1999 * British Museum, London

1998 * Stedelijk Museum, Amsterdam

1997 * Goldman Sachs, New York

1996 * Crédit Lyonnais, Belguim

1995 * Musée Nicéphore Niepse, Chalon sur Saône

1994 * Bibliothèque Nationale. Paris

1993 * Fondation Spes, Brussels

1992 * Museum Buffon, Monbard

1991 * MUHKA-Museum of Contemporary Art, Antwerpen

1990 * Banque Bruxelles Lambert

1988

Musée de la Photographie, Charleroi

1987

Musée Carnavalet, Paris

1986

Musée dʼIxelles, Brussels

1985

Lauréat du Prix, Emile Langui, La Jeune Peinture Belge

1984

Prix de la Galerie dʼessai, Arles

1983 * Lauréat du Prix de LʼUNESCO

Georg VIKTOR

Artiste Allemand, naît en 1953 à Ludwigshafen.

Musicien de formation, il décide de se consacrer à la sculpture et vit depuis de nombreuses années en Toscane, près de Carrares.

« En tant que sculpteur, Georg Viktor possède la sensibilité, la force et le don de faire naître d’un bloc de marbre un corps , quelque chose de visible en trois dimensions et de sensiblement humain (naturel) : il faut pouvoir entendre le son du marbre afin d’y libérer la forme cachée. Le moment de l’achèvement transpose chacune de ses créations de la phase ou l’existence est libre d’un but (corps, sculpture, beauté) dans une phase avec un but. Car l’effet sur l’inconscient est la signification artistique impliquée. « 

Ce n’est pas sans aucune raison que Georg Viktor qualifie le travail avec le marbre, la création d’une sculpture, d’un processus de production analytique (scrutateur , analysant) : d’une destruction, de l’effet de la violence naissent la sensualité, l’érotisme, la figuration et les trois dimensions .

 » Pour moi, le modelage est un principe féminin – la taille est un principe masculin. « 

L’application d’une technique traditionnellement artisanale, que Georg Viktor a appris à Pietrasanta, son amour du détail , son agilité en travaillant le marbre ses connaissances par rapport à la réalité de l’anatomie humaine , le don et l’imagination de traduire un objectif en trois dimensions, transforme toujours un bloc de marbre en sculpture idéale – réaliste .

Ainsi le corps créé par Georg Viktor devient un être vivant .

Les sculptures et les plastiques de Georg Viktor deviennent des métaphores contemporaines de la sensualité, de l’érotisme ; elles avancent sur le temps sans le connaître dans leur intemporalité. »

Christoph MAISENBACHER

1953

Born in Ludwigshafen / Rhein

1976

Diploma in music at the Staatliche Hochschule für Musik, Heidelberg – Mannheim

1978

Private sculpture education at sculptuor and restorer Volker Dursy, Ladenburg

1979

Work and practical training at Studio Ferdinando Palla, Pietrasanta, Italien.

Lives in Pietrasanta and Ludwigshafen

exhibitions

2014

Solo exhibition, Art & Design – Pietrasanta, IT

KulturKlub Mittelpunkt / Portraits von Ernst Kolb – Mannheim, DE

iSculpture Art Gallery – San Gimignano, IT

Solo exhibition, Kulturklub Mittelpunkt / « Mostra di Scultura » – Mannheim, DE

2013

Eros/Arte – Montignoso, IT

La Cava Del Falco, Il Primo Volo – Pietrasanta, IT

Triennale Di Scultura – Montone, Umbria, IT

2012

Open Art – Roveredo, Graubünden, CH

Solo exhibition, Art Vinum – Angelbachtal, Kraichgau, DE

Weingut Reichsgraf und Marquis zu Hoensbroech, DE

2011

Solo exhibition, Galerie Kunstmassnahmen – Heidelberg, DE

Open Art – Roveredo, Graubünden, CH

Open Art – Zürich, Ottenbach, DE

2010

Galerie Bachlechner – Zürich, Bergdietikon, CH

Galerie Libertine – Brussels, BE

Open Art – Frankenthal, Pfalz, DE

2009

Open Art – Frankenthal, Pfalz, DE

Steinweggalerie – Stolberg, Rheinland, DE

2008

Heimatmuseum – Leingarten, DE

Offene Gärten – Grünstadt, Pfalz, DE

2007

Solo exhibition, Galleria Lucii – Forte dei Marmi, IT

2006

Fetish evolution – Essen, DE

Galerie d’Art Extrapole / « Artists in the Boudoir » – Liege, BE

Mostra Erotismo – Carrara, IT

2005

Fetish Event – Berlin, DE

Open Art Festival – Frankenthal, Pgfalz, DE

De Va et Vient Galerie / « Artists in the Boudoir » – Antwerpen, BE

2004

Art & Cultur – Nieuwegein / Utrecht, NL

Fetish Event – Berlin, DE

Solo exhibition, Highligts – Düsseldorf, DE

Solo exhibition, Galerie Saby Lazi – Stuttgart, DE

2003

H-ART – Pietrasanta, IT

Galerie 654 – Frankfurt, DE

2002

Solo exhibition, Galerie Maisenbacher – Trier, DE

2001

Les Pyramides – Brussels, BE

BBK Galerie / « E wie Erotik » – Mainz, DE

2000

Galerie Maisenbacher Signiert 2000 – Trier, DE

Galleria Pananti – Firenze, IT

Galerie im Weldeturm / « Fetisch » – Schwetzingen, DE

1999

Galerie ON – Köln, DE

Art Bizarre – Köln, DE

Solo exhibition, Vivi Arte – Pietrasanta, IT

1998

Pleiad Galerie – Speyer, DE

Solo exhibition, Galerie im Turm – Schwetzingen, DE

Lineart, Galerie Maisenbacher,Trier – Gent, BE

Art Jonction – Nice, FR

Start – Strasbourg, FR

1997

Art Frankfurt, Galerie Markus Nohn, Trier, DE

Solo exhibition, Il Bottaccio, Relais-Chateaux – Massa, IT

Galerie Hansen – Bonn, DE

Galerie Ressmann – Mannheim, DE

Kunsthaus Köln – Köln, DE

1996

Solo exhibition, Objektform – Mannheim, DE

Erotik-Museum Beate Uhse (Purchase) – Berlin, DE

Centro Culturale Luigi Russo / « Sfidando l’Arte facile » – Pietrasanta, IT

Galerie Kunststücke – Wien, AU

Louis K. Meisel Gallery / « The Great American Pin-ups » – New York, US

1995

Galerie Rozmarin – München/Olching, DE

Solo exhibition, Bildhauergalerie Messer-Ladwig -Berlin, DE

Museo dei Bozzetti / « Еxhibition of Contemporary Sculture » – Pietrasanta, IT

Galerie Kunststücke – Wien, AU

Kunsthandlung Osper – Köln, DE

Galerie Wild – Frankfurt, DE

1994

Museo dei Bozzetti (Purchase)  – Pietrasanta, IT

Comune di Pietrasanta „Le Forme del Mare“ – Pietrasanta, IT

Bildhauergalerie Messer-Ladwig / « КOPF-LOS, Prinzip Torso » – Berlin, DE

Solo exhibition, Kunst Kabinett Köln / « Variationen über das Thema » -Köln, DE

1993

Gemälde Cabinett Unger / « Der Akt in der Kunst/Erotik in der Kunst » – München, DE

Solo exhibition, Galerie Jean Marie Cupillard – St. Tropez, FR

1992

Galerie Meneghello / « Zwei Jahre in Bogenhausen » – München, DE

Solo exhibition, Kunst Kabinett Köln – Köln, DE

Galerie Rozmarin / « Zeitgenössischer Akt » – München / Olching, DE

1991

Musée Rimbaud, Rimbaud / « L’autre Visage » – Charleville-Mézières, FR

Artur Rimbaud / « L’autre Visage » – Esch-sur-Alzette, FR

Solo exhibition, Galerie Bollhagen – Worpswede, DE

Solo exhibition, Galerie Meneghello -München, DE

Solo exhibition, Galerie Jean Marie Cupillard – St. Tropez, FR

Art Nürnberg München, Galerie Meneghello / « Skin- Soul-Spirit » – Nürnberg, DE

1990

Kunst Kabinett Köln / « Еros ist frei » – Köln, DE

Galerie Jean Marie Cupillard – St. Tropez, FR

Solo exhibition, Kunst Kabinett Köln – Köln, DE

Galerie Meneghello / « Jahrmarkt der Sinne » – München, DE

1989

Museu Antonio Duarte, Int. Bienale für Skulptur – Caldas da Rainha, PT

Solo exhibition, Kunst Kabinett Köln – Köln, DE

Solo exhibition, Galerie Grüner Panther – Frankfurt, DE

1988

Galerie Jean Marie Cupillard St. Tropez, Galerie Jean Marie Cupillard -Grenoble, FR

1987

Int. Bienale für Kleinplastik – Castellanza, Millano, IT

Kunstverein / « Junge Rheinland-Pfälzer Künstler » – Ludwigshafen, DE

Galerie im Herrengässel – Rhodt u. Rietburg, DE

Solo exhibition, Galerie Grüner Panther – Frankfurt, DE

Galerie Alte Gutselfabrik – Frankenthal, DE

1986

Villa Streccius – Landau, DE

Solo exhibition, Galerie Apocalypso – Weinheim, DE

Pfalzgalerie – Kaiserslautern, DE

1984

Galerie Satyra – Kronberg, Taunus, DE

1983

Solo exhibition, Galerie Eins – Speyer, DE

Kunstverein Mannheim, Neustadt, Sinsheim / « Wanderausstellung Kurpfalz » – Frankenthal, Worms, DE

1982

Große Düsseldorfer Kunstausstellung, Kunstpalast – Düsseldorf, DE

Solo exhibition, Galerie Gransche – Worms, DE

1981

Kunstverein / « Junge Rheinland-Pfäzer Künstler » – Ludwigshafen, DE

1979

Förderpreis für junge Künstler ( prizewinner) – Ludwigshafen, DE

1978

Galerie Qualerie, mit Gruppe Pegasus – Esslingen, DE

Wasgauhalle, mit Gruppe Pegasus – Pirmasens, DE

Atelier HAUTE CUISINE

The design collective “Atelier Haute Cuisine” has been founded in 2009 by Bernd Tyskens and Benny Conings.
‘Like cooks we mix different ingredients together so that they can contribute to a greater whole.
The outcome can be handmade objects, lightsculptures, furniture, site specific installations and concepts.’ Such as :

The Anonymus Family

This serie of light sculptures is created throughout a cooperation with artist Patrick Meylaerts.
It’s a family of light sculptures which all differ through their form, size and color temperature, but yet all belong to one specific group. Trying to evoke feelings such as anonymity, freedom, need of interaction and solidarity. The light sculptures get through the day almost unattended but once the sun sets, they radiate, practically demanding their notification.

No Leafs Tree

This serie of light sculptures evokes the mystery of life that emanates from a luminous tree cocoon.

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