A free and atypical course. Born into a family of artists, with a Degree in Art History and an experience at the Tajan Paris sales house, and a lawyer in Paris and New York, Émilie Dujat studied at HB Studio NYC and adapted plays.
In 2006, she discovered a new world: the fascinating erotic art.
Inspired by the freedom of thought of the Enlightenment, she opened, in the Sablon district of Brussels, the first erotic art gallery, ‘La Galerie Libertine’ : a cabinet of erotic curiosities.
She contributed to the opening of the Museum of Eroticism and Mythology in Brussels.
In 2013, she decided to associate with living artists. The Libertine Gallery then became the Émilie Dujat’s Gallery to become a platform for communication of contemporary disruptive art.
A gallery specialized in questioning identity, gender and the discovery of human sexual fantasy.
Then the gallery adopted the new concept of private gallery and moved to Châtelain in the childhood home of Henri Michaux.
For the past four years, the gallery has chosen to be nomadic. It organizes several exhibitions a year in surprising places. A desire to adapt constantly to the particular universe of each artist.
Un parcours libre et atypique. Née dans une famille d’artistes, diplômée en histoire de l’art et dotée d’une expérience chez Tajan, commissaire-priseur à Paris, avocate à Paris et New York, Émilie Dujat a suivi les cours du HB Studio NYC et adapté des pièces de théâtre.
En 2006, elle découvre un nouveau monde: le fascinant art érotique. Elle ouvre dans le quartier du Sablon à Bruxelles la première galerie d’art érotique: inspirée de la liberté de pensée du siècle des lumières, ‘La Galerie Libertine’ est un cabinet de curiosités érotiques.
Elle contribue à l’ouverture du Musée de l’érotisme et de la mythologie à Bruxelles.
En 2013, elle décide d’accompagner les artistes vivants. La Galerie Libertine devient alors la Galerie Émilie Dujat, plate-forme de communication de l’art disruptif contemporain. Une galerie spécialisée dans les questions de l’identité, du genre et de la découverte de la fantaisie sexuelle humaine.
Puis la galerie adopte le nouveau concept de galerie privée et s’installe au Châtelain à Bruxelles dans la maison d’enfance d’Henri Michaux.
Depuis quatre ans, la galerie a choisi d’être nomade. Elle organise plusieurs expositions dans des lieux surprenants.
Une volonté de s’adapter en permanence à l’univers particulier de chaque artiste.
